Bonjour à tous, déchiffreur ou non,
voici ma contribution du moment, des deux que je dois qui sont en fait 3 inventaires. Le 170 est à ajouter à la liste :
[257–138] Le mercredi 5 septembre 1640 – Inventaire après le décès de Thomas du TOCQ, écuyer, sieur de Mimouche et capitaine au régiment de la Marine. A la requête de damoiselle Françoise du BOCQUET, sa veuve, demeurant à Paris, rue Neuve Saint-Honoré, paroisse Saint-Roch, en une maison proche et attenant la porte Neuve Saint-Honoré, tant en son nom comme créancière de la succession du défunt pour ses dot et conventions matrimoniales, que comme mère et tutrice créée le 31 août 1640, de Louise, âgée de 8 ans et demi, Henri, âgé de 6 ans et demi, Elisabeth, âgée de 4 ans, Françoise, âgée de 3 ans, et Angélique du TOCQ, âgée de 19 mois, leurs enfants mineurs. Et en la présence de Edmé CORNU, procureur en Parlement, demeurant à Paris, rue de la Parcheminerie, paroisse Saint-Séverin, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en la maison de Paris, et en une maison sise à Chartrettes (77590) près de Melun.
(vue 145) cote 1 : 1628 – Contrat de mariage Thomas du TOCQ x Françoise du BOCQUET. Jean du BOCQUET, écuyer, sieur de Civry (Sivry) et damoiselle Antoinette de JORRUS, sa femme, nourrice du Roi, père et mère de la future, donnent 16 000 livres. Opportune OUDE, mère du futur, 1 000 livres de rente annuelle.
(vue 146) cote 3 : 1639 – Transport audit sieur du TOCQ et ladite du BOCQUET, d’un fief et manoir sis sur le terroir et paroisse de Civry (Sivry-Courtry, 77115), vulgairement appelé le fief du Petit-Mimouche.
(vue 147) cote 4 : 1639 – Aveu et dénombrement par ledit sieur du TOCQ audit sieur Jean du BOCQUET, sieur de Sivry et du Chesnoy (le Chesnoy-lès-Sens, Paron, 89100), de ladite terre du Petit-Mimouche, relevant dudit sieur du BOCQUET, à cause de sadite terre de Sivry.
(vue 149) Ladite veuve déclare qu’il est du à dame Louise du BOCQUET, sa sœur, veuve de maître Pierre de la MESCHAUSSÉE, chevalier, sieur de Merat les comérazes ( ?).
[257–150] Le jeudi 9 août 1640 – Inventaire après le décès de honorable femme Denise LENFANT (LENFFANT). A la requête de son mari, honorable homme Eustache CHEVREAU, marchand affineur et départeur d’or et d’argent, bourgeois Paris, y demeurant rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en la maison où est pour enseigne
la Rose rouge, tant en son nom que comme tuteur élu le 18 juillet 1640, de Michel CHEVREAU, âgé de 14 à 15 ans, leur fils mineur. Et en la présence de honorable homme Louis LENFANT, juré mouleur de bois, bourgeois de Paris, demeurant au bout du pont au Change, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en ladite maison de
la Rose Rouge, et en une maison et lieux sis au lieudit la Follie-Regnault, près de Paris proche et hors la porte Saint-Antoine (cf. cote 2), montrés par ledit CHEVREAU, et par Louis HARASSE, beau-frère dudit CHEVREAU, Pierre LENFANT, neveu d’icelui CHEVREAU à cause de la défunte sa femme, aussi demeurant avec ledit CHEVREAU en ladite maison.
(vue 161) cote 1 : 1622 – Contrat de mariage Eustache CHEVREAU x Denise LENFFANT. Pierre LENFFANT, père de la future promet 1 400 livres.
(vue 164) cote 5 : 1627 – Partage entre Jacques de LALEU, maître tireur d’or et d’argent, et Marie LENFFANT sa femme, héritiers en partie de défunts Pierre LENFFANT et de Denise LEFEBVRE, jadis sa femme ses père et mère, Louis et Françoise LENFFANT, émancipés sous l’autorité de Georges DUPONT leur curateur, ledit Eustache CHEVREAU et Denise LENFFANT sa femme, ledit DUPONT en ladite qualité et encore comme tuteur des enfants mineurs de lui et de défunte Jeanne LENFFANT sa femme ; Antoine LE GENDRE, marchand bourgeois de Paris, comme tuteur de Pierre LENFFANT, fils mineur de défunt Bertrand LENFFANT et de Marguerite LE GENDRE ses père et mère. Tous lesdits mineurs, Louis et Françoise et Denise LENFFANT, héritiers avec Pierre LENFFANT, chacun pour un septième desdits défunts Pierre LENFFANT et Denise LEFEBVRE.
(vue 164) cote 6 : Ledit CHEVREAU à déclaré qu’il est propriétaire de la maison sise à Maule (78580), provenant de Jean CHEVREAU son père.
(vue 164) cote 7 : 1621 – Vente audit (Eustache) CHEVREAU, par Louis HARRASSE et Antoinette CHEVREAU, sa femme.
[257–170] Le lundi 30 juillet 1640 – Inventaire après le décès de Pierre de LESCHE, marchand de chevaux à Paris. A la requête de Marie PETIT, sa veuve demeurant rue Neuve Saint-Honoré, en la maison où est pour enseigne
le Dauphin, paroisse Saint-Roch, tant en son nom que comme tutrice de Etiennette de LESCHE, âgée de 9 ans, leur fille mineure, par acte de tuition du 27 juillet 1640. Et aussi à la requête et présence de Claude de LESCHE, aussi marchand de chevaux à Paris, y demeurant avec ladite veuve sa mère, émancipé d’âge sous l’autorité de sa mère, et de Michel MOISSON, marchand plâtrier demeurant au faubourg et paroisse Saint-Laurent, à cause de Jeanne de LESCHE sa femme, et encore ledit MOISSON comme subrogé tuteur de ladite mineure. Et en l’absence de Pierre BIGOT, bourgeois de Paris, à cause de Elisabeth de LESCHE sa femme. Tous lesdits Claude, Elisabeth, Jeanne et Etiennette de LESCHE, frère et sœurs, habiles à se dire, porter et nommer héritiers du défunt leur père.
(173) cote 2 : Certificat du 18 juillet, de François MICHEL, prêtre vicaire perpétuel de Cambre
mer (
14340) qui certifie avoir inhumé ledit défunt le mercredi 11 juillet (1640).
Je veux bien une paire supplémentaire (foxtrot ou paso doble).
Christophe.