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Aide à l'indexation des inventaires de Me Jean Thévenin (1624 à 1630)

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bertrandg
male
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Question à deux sous, je ne sais pas si quelqu'un aura une idée :
Puisque nous sommes en plein IAD de Jean THEVENIN, j'ai regardé à nouveau la liste de ce qui est numérisé et il ne semble pas y a voir de trou dans la succession des cotes, par contre au niveau des années, il y a plein de trous, par exemple 1600-1607 ou 1618-21.

Voilà la question : pour ces années lacunaires, est-ce que cela veut dire que les liasses d'IAD ont été perdues ? Ou bien est-ce que les IAD sont dans les liasses/registres de minutes ?

Quelqu'un a certainement déjà été confronté à la question, pour ce notaire ou pour d'autres, car le cas semble assez répandu…

Bonne réflexion.

Bertrand
alachaud
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Tout d'abord la liste des devoirs pour les grands enfants confinés:

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=49614
Inventaires de Jean Thévenin - AN ET-XCI-216 (1628)

(...)
82 JD
91 JD

106 Ch
113 Ch

118 P
126 B
131 B

138 P
150 JD
166 JD

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=49615
Inventaires de Jean Thévenin - AN ET-XCI-217 (1629-1630)

1 P
31 P
58 Ch
73 Ch
89 B
101 B
106
110
114
132
139
148
164

Bonne question Bertrand! Il est vrai que les cotes se suivent pour ce qui est des inventaires après décès. C'est peu probable mais peut-être que d'autres inventaires se cachent dans les minutes de ce notaire qui existent quant à elles bel et bien pour ces années. Il serait toutefois étonnant que ce notaire à la longue carrière (de 1588 à 1631, voir http://minutier.free.fr/mc/cherche.php?nom=thevenin) ait modifié ses habitudes en cours de route.

Il laisse des répertoires chronologiques (1588-1603) puis des tables annuelles alphabétiques par client (1604-1631). Il faudrait jeter un coup d'oeil à ces documents numérisés et disponibles sur le site des Archives Nationales: https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/recherche/ir/rechercheGeneralisteResultat.action?formCaller=GENERALISTE&searchText=jean+th%C3%A9venin

Bonne nuitée,

Anthony
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jeanpaumelinon
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Bonjour,
Pour compléter ta réponse Anthony, il faut aussi se rappeler qu'on a trouvé il n'y a pas si longtemps, notamment dans l'indexation de Cléophas PERON ceci:
Inventaires de Me Jean THÉVENIN - AN ET-XCI-133 (1589) http://www.geneanet.org/archives/regist ... tion=44343

Ces IAD ont été réattribuées à THEVENIN ou à PERON et THEVENIN et elles sont souvent signées des deux. JD avait remarqué que le notaire en titre en principe signait coté droit du document et que l'associé signait coté gauche, mais est-ce une règle absolue?
Difficile de savoir le fin mot de l'histoire tant qu'on n'aura pas trouvé un contrat entre eux s'il s'agit d'une association, ou de THEVENIN travaillant chez PERON le temps que celui-ci se réapprovisionne en clercs, ou inversement.
Il y a certainement des minutes et même des liasses qui ont été perdues et peut-être d'autres qui n'ont pas encore été inventoriées.
Certes Paris n'est pas dans l'état des archives du département de la Vienne où ce sont encore des kilomètres linéaires qui n'ont jamais été recensés, au point même qu'il y a quelques années quelques tonnes de documents même pas inventoriés étaient partis au pilon, mais bon on n'est pas à l'abri de bonnes surprises. Il reste encore beaucoup de documenets à déconfiner !
Cordialement
Jean Paul
bertrandg
male
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Merci Anthony et Jean-Paul, réponses intéressantes. Comme toujours, l'organisation des archives qui nous ont été léguées dépend de leurs producteurs (pour parler archiviste) d'une part, mais aussi de toute l'historique de conservation à travers le temps (ici 400 ans) qui nous sépare de leur rédaction...

Sinon, l'affectation des IAD à transcrire est un peu à la peine ou alors je suis puni ?
Bon, je m'attribue tout seul les deux suivants :
126 et 131

Bertrand, privé de boulot
cdemaz
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bertrandg a écrit : 14 mai 2020, 20:33 Question à deux sous, je ne sais pas si quelqu'un aura une idée :
Puisque nous sommes en plein IAD de Jean THEVENIN, j'ai regardé à nouveau la liste de ce qui est numérisé et il ne semble pas y a voir de trou dans la succession des cotes, par contre au niveau des années, il y a plein de trous, par exemple 1600-1607 ou 1618-21.

Voilà la question : pour ces années lacunaires, est-ce que cela veut dire que les liasses d'IAD ont été perdues ? Ou bien est-ce que les IAD sont dans les liasses/registres de minutes ?

Quelqu'un a certainement déjà été confronté à la question, pour ce notaire ou pour d'autres, car le cas semble assez répandu…

Bonne réflexion.

Bertrand
Bonjour Bertrand, ... et tous,

une partie des archives de Jean Thévenin est classée avec l'étude IX, avec laquelle il était associé.
https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/producteur/consultationProducteur.action?formCallerNP=PRODUCTEUR&formCallerIR=&notProdId=FRAN_NP_010424
Si tu cherche quelque chose, il faut peut être aller voir dans cette étude IX au lieu de XCI ?

Je pense que je ne livrerai rien ce jour.
A plus tard
Christophe.
bertrandg
male
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Les voilà d'ailleurs qui arrivent :

[216 - 126] 28 février 1628 - Inventaire après le décès de feue Madeleine DELAHAMEE, à la requête de honnête homme Daniel RETOU / RETON, bourgeois de Paris, demeurant rue du Bourg Abbé paroisse Saint-Leu Saint-Gilles, mari de la défunte, au nom et comme tuteur de Marie RETOU, âgée de 20 ans, Aimable RETOU, âgé de 19 ans, Suzanne RETOU, âgée de 12 ans environ et André RETOU âgé de 10 ans environ, tous leurs enfants mineurs. Et aussi à la requête de maître Isaac BELLET, sieur du Noyer, demeurant en ladite rue du Bourg Abbé et de Anne RETOU, sa femme (également fille de la défunte), ledit BELLET subrogé tuteur des mineurs. Fait en la maison où la défunte est décédée depuis deux mois, où est pour enseigne l'Epousée.
(vue 130) Il y a 4 ans environ, un nommé maître Jacques CHOTART, receveur des décimes à Maubert, qui était cousin germain de la défunte est décédé duquel la défunte et un nommé maître Jacques VASSE ont été héritiers, pour laquelle succession ils sont en procès.

[216 - 131] 30 août 1628 - Inventaire après le décès de feu Claude DUSAULT sommelier de feue Madame, demeurant à Paris, rue Salle, paroisse Saint-Leu Saint-Gilles, à la requête de Marie DUBOIS, sa veuve, tutrice de François DUSAULT, âgé de 20 ans environ, leur fils mineur. En présence de honnête homme Michel PELLETIER, chirurgien ordinaire de la compagnie de gendarmes de Monseigneur frère du Roi, subrogé tuteur. Fait en ladite maison où habite sa veuve, rue Salle, au côté joignant l'église des Pénitentes, le défunt étant décédé au camp devant La Rochelle (17000) dès environ Noël dernier.
(vue 136) titres cote 4 - 12 février 1626, contrat de mariage de Claude DUSAULT et Marie DUBOIS reçu par Jean Pournel et Jean Thevenin, mentionne Michel PELLETIER, son cousin.

A suivre

Bertrand
pganier
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Bonsoir,

Voilà celui-là, avec des petits noms pas évidents (OREM / LE SAUGE, PASTE, SIETTE...):

[216–118] 10 janvier 1628 - Inventaire après le décès, survenu il y a 3 mois ou environ, de Barbe BOURBIER, au jour de son décès veuve de feu Jean FRANÇOIS, et auparavant de Robert MENTION (ou MANSION), vivant maître charcutier à Paris, à la requête de Michel OREM, étalier boucher à Paris, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Sauveur, devant l'église Saint-Nicolas-des-Champs, et de Claude LE SAUGE sa femme qu'il autorise à cause d'elle, créanciers de ladite défunte, et en la présence de noble homme maître Georges LE FEBVRE, avocat en parlement, premier substitut de monsieur le procureur du Roi au Châtelet de Paris, appelé par ledit OREM à cause de l'absence et ivresse des héritiers de ladite défunte, et encore en la présence de Robert MENTION, âgé de 21 ans ou environ, marchand mercier à Paris, fils desdits défunt Robert MENTION et Barbe BOURBIER ; aussi en la présence de maître Jean OMÉ, procureur de Michel PICART, maître serrurier à Paris, ledit PICART présent, et maître Nicolas LIMOSIN (qui signe LYMOSIN), procureur de maître Étienne JAN, huissier au grand conseil, d'André LOYS (qui signe A. LOUIS), clerc de messire Jean PASTE, procureur d'Anne GOURIER, veuve de feu Michel SIETTE, et en l'absence des autres créanciers de ladite défunte.
En une maison sise à Paris, rue Saint-Honoré, proche le cloître de l'église Saint-Honoré.
Biens aussi montrés par Nicolas LEMAIRE, marchand mercier à Paris, voisin et gardien des biens.

(Vue 124) cote 1 : 1618 - Inventaire après le décès de Robert MENTION, maître charcutier, bourgeois de Paris, à la requête de Barbe BOURBIER sa veuve, tant en son nom que comme exécutrice du testament et ordonnance de dernières volontés dudit défunt, et encore comme tutrice de Claude, Louis et Robert MENTION, enfants mineurs dudit défunt et d'elle, en la présence de Louis FERANT, maître savetier à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs.

(Il faut peut-être quand même m'en attribuer deux en même temps, quelque fois qu'ils auraient peu de titres. Et s'ils en ont beaucoup, je les posterais un par un...)

Bonne soirée ;)
jdp1
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Bonjour à tous,

Voici mes lectures :

[216- 82] 27 juillet 1628 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 23 juin 1628, de feue Agnès DE BRION, veuve de feu Benjamin D’AVANTOIS, sieur de Beaumont-la-Ferrière (58700), à la requête de son frère Philippe DE BRION, écuyer, sieur de Brantigny (10220 Piney) et de Courcelles, demeurant audit Courcelles en Champagne, bailliage de Chaumont en Bassigny, au nom et comme tuteur créé et élu par justice aux personnes et biens des enfants mineurs des défunts, et en la présence de Me Pierre CHASTELAIN, procureur au Châtelet de Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, et encore en la présence de Me Pierre THEVENYN, procureur audit Châtelet comme procureur d’honorable homme Antoine POIGNANT, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue de Montmorency, paroisse Saint-Nicolas, assisté de Claude LEBLOND, femme dudit POIGNANT, lequel n’est à présent en cette ville de Paris. L’inventaire concerne les papiers qui se sont trouvés en la maison dudit POIGNANT, appartenant à ladite défunte, où elle demeurait lors de son décès.
(vue 88) – papiers divers : Bernard DE BRION et Jean DE BRION aïeul et bisaïeul desdits mineurs.

[216- 91] 28 novembre 1628 – Inventaire des biens de feus François AMELINE, commissaire ordinaire de l’artillerie, décédé le 30 novembre 1626, et de sa femme Jeanne COPPIN, décédée en août 1625, qui demeuraient à Paris, rue de Versailles, paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet, au Barillet, à la requête et présence d’honorable homme René LÉVEILLÉ / LESVEILLÉ, maître tailleur d’habits demeurant à Paris, rue des Vieux-Augustins, paroisse Saint-Eustache, au nom et comme tuteur et curateur créé et élu par justice aux personnes et biens de Françoise AMELINE, âgée de 22 ans, Madeleine AMELINE, âgée de 20 ans, Michel AMELINE, âgé de 18 ans, François AMELINE, âgé de 15 ans, Martin AMELINE, âgé de 10 ans et Nicole AMELINE, âgée de 6 ans et demi, enfants mineurs des défunts.
Me Charles GAULTIER, bourgeois de Paris, propriétaire de ladite maison du Barillet, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Benoît, à l’Éléphant, incontinent après le décès dudit feu AMELINE aurait fait saisir tous ses biens et iceux fait vendre afin d’avoir paiement des loyers qui lui étaient alors dus.

À bientôt.
JD
cdemaz
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Bonjour à tous,

et les miennes :

[216–106] Le samedi 29 janvier 1628 – Inventaire après le décès de maladie contagieuse de Guillaume ROUVEAU/RONNEAU, maître savetier à Paris, et Mathurine BOUCHER sa deuxième femme, décédée avant lui aussi de maladie contagieuse le 4 septembre 1627. A la requête de Philippe ASSOLLÉ (signe ASSOLLEZ), maître savetier à Paris, demeurant rue Saint-Martin, au coin de la rue de Montmorency, paroisse Saint-Nicolas, tant en son nom à cause de Catherine ROUVEAU, sa femme, que comme tuteur élu le 28 janvier 1628, de Philippe ROUVEAU, âgé de 16 à 17 ans, fils du défunt et de Marie FERON, jadis sa première femme. Aussi à la requête de Marguerite ROUVEAU, veuve de Bernard MARBRE (MARTRE ?), aussi maître savetier à Paris, demeurant rue Beaubourg, au Lion d’argent, en son nom. Lesdits Marguerite, Catherine et Philippe ROUVEAU, enfants et habiles à se dire, porter et nommer héritiers chacun pour un tiers dudit défunt leur père. Et en la présence de Martin ROUVEAU, juré mesureur de grains à Paris, demeurant rue Place aux Veaux, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, comme subrogé tuteur audit mineur. Les biens étant en la maison dudit ASSOLLÉ, où le défunt demeurait et où il est décédé.
(vue 111) cote 1 : 1624 – Contrat de mariage Guillaume ROUVEAU x Mathurine BOUCHER, auparavant veuve de Marguerin PERIER, mercier à Paris.
(vue 112) cote 2 : 1624 – Inventaire après le décès de Marguerin PERIER, à la requête de Mathurine BOUCHER, sa veuve.
(vue 112) cote 3 : 1624 – Inventaire après le décès de Marie FERON, à la requête de son mari, Guillaume ROUVEAU, en son nom et comme tuteur de Philippe ROUVEAU, leur fils mineur.

[216–113] Le mercredi 12 janvier 1628 – Inventaire après le décès de maladie contagieuse, il y a 4 mois environ, de Ancelme MOREL, manœuvre à couvreur ( ?). A la requête de Anne BREAU, sa veuve, demeurant rue Saint-Denis, à l’enseigne du Roi François, près le Ponceau, paroisse Saint-Nicolas, en son nom, et comme donataire universelle de tous les biens de son mari par leur contrat de mariage. Et en la présence de Georges Lefebvre, substitut du procureur du Roi, pour la conservation des droits des parents et héritiers dudit défunt. Les biens étant en une chambre et lieu où ladite veuve demeure, et où le défunt serait décédé, au deuxième étage du corps d’hôtel de devant, de ladite maison du Roi François, rue Saint-Denis.
(vue 116) cote 1 : 1624 – Contrat de mariage Ancelme MOREL x Anne BREAU.

A plus tard,
Christophe.
pganier
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Bonjour,

Je me demande si vous ne vous étiez pas interrogé déjà sur ce point: à l'arrière / à l'avant des Halles?:

[216–138] 19 juin 1628 - Inventaire après le décès d'honorable femme Marguerite CHARPENTIER, à la requête d'honorable homme Gilles ALIX (qui signe ALLIX), tapissier ordinaire de la Reine, demeurant à Paris, rue Tonnellerie, paroisse et à l'image Saint-Eustache, vis-à-vis de la porte à l'Avoine des Halles de cette ville de Paris, tant en son nom que comme tuteur aux personnes et biens d'Oudart ALIX âgé de 18 ans ou environ, fils de lui et de ladite défunte ci-devant sa femme, et en la présence d'honorable homme Oudart CHARPENTIER, juré, vendeur et contrôleur de vins, bourgeois, oncle maternel, parrain, et subrogé tuteur dudit mineur.

Bonne journée ;)
Dernière modification par pganier le 16 mai 2020, 13:18, modifié 1 fois.
cdemaz
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pganier a écrit : 16 mai 2020, 10:17 Bonjour,

Je me demande si vous ne vous étiez pas interrogé déjà sur ce point: à l'arrière / à l'avant des Halles?:
Salut Pascal,

je dirais la porte à l'avoine des halles.

Christophe
jeanpaumelinon
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pganier a écrit : 16 mai 2020, 10:17 : je n'avais ici qu'un seul CM, non porteur de la moindre information supplémentaire.
Bonne journée ;)
Bonjour Pascal,
la date du CM est une information généalogique importante pour situer la descendance chronologiquement
Cordialement
Jean Paul
pganier
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Jean-Paul, peut-être, mais je n'ai pas de "motif" de recherche ici: pas de nom, pas de métier, de lieux...
Si le chercheur veut de la substance, je me dis qu'il a le droit de faire ses recherches, et d'aller voir les actes lui aussi.
Depuis que je les fais, c'est tout ce qui me préoccupe (les motifs d'intérêt).
Je n'ai pas envie de cautionner une certaine fainéantise.
Il y a les CM, il y en a d'autres, et le chercheur ne doit pas se sentir libre de ne pas aller voir ces actes numérisés, où l'on aura toujours manqué quelque chose pour quelqu'un...


cdemaz a écrit : 16 mai 2020, 10:34 je dirais la porte à l'avoine des halles.

Heu, je vais donc mettre... "à l'avant"! :)
cdemaz
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pganier a écrit : 16 mai 2020, 10:47
cdemaz a écrit : 16 mai 2020, 10:34 je dirais la porte à l'avoine des halles.

Heu, je vais donc mettre... "à l'avant"! :)
Non Pascal, c'est bien "Porte à l'Avoine" ! JD l'avait déjà rencontrée, d'ailleurs :
https://www.geneanet.org/forum/viewtopic.php?t=531592&start=165#p1070773

Christophe.
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pganier a écrit : 16 mai 2020, 10:47 Jean-Paul, peut-être, mais je n'ai pas de "motif" de recherche ici: pas de nom, pas de métier, de lieux...
Si le chercheur veut de la substance, je me dis qu'il a le droit de faire ses recherches, et d'aller voir les actes lui aussi.
Depuis que je les fais, c'est tout ce qui me préoccupe (les motifs d'intérêt).
Et si on s'entendait une bonne fois pour toutes sur les titres et leur contenu à relever ? Je pense que tout le monde y gagnerait, les indexeurs en premier lieu (échanges en privé possibles).
JD
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