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deux (surtout le second) gratinés
Je veux bien vos avis sur le prénom du premier mari de la veuve, et le nom de la première femme du défunt.
[351–27] Le samedi 9 décembre 1600 – Inventaire après le décès de honorable homme Claude de NOUROY (de NOROY, de NAUROY), juré vendeur et contrôleur de vins à Paris, et premier lieutenant des trois compagnies de ladite ville. A la requête de honorable femme Claire AMAURY (AMAULRY), sa veuve demeurant rue de Jouy, paroisse Saint-Paul, au nom et comme tutrice de Jean de NOUROY, et du posthume dont elle est enceinte, enfants du défunt et d’elle. Et en la présence de honorable homme Claude de NOUROY, aussi juré contrôleur de vins à Paris, premier lieutenant des trois compagnies de ladite ville ; de honorable homme Jean AMAURY le jeune, marchand et bourgeois de Paris, à cause de Madeleine de NOUROY, sa femme et encore comme subrogé tuteur tant dudit mineur que du posthume ; et honorable homme Jacques THEROUANNE (signe THEROUENNE), maître apothicaire et épicier, bourgeois de Paris, à cause de Geneviève de NOUROY sa femme. Lesdits Claude, Madeleine et Geneviève de NOUROY, frères et sœurs, aussi enfants et héritiers par bénéfice d’inventaire du défunt. Les biens étant en la maison où le défunt était demeurant, dite rue de Jouy, montrés par ladite veuve et par Marie DORMEREAU sa fille et de défunt
Christophe DORMEREAU, son premier mari.
Vue 38, cote 3 : 1597 – Compte rendu par ledit défunt à honorable personnes Claude NAUROY le jeune, aussi contrôleur de vins à Paris, Jean AMAURY, marchand bourgeois de Paris, Madeleine de NAUROY, sa femme, et à Jacques THEROUANNE maître apothicaire et épicier à Paris et Geneviève de NOROY, enfants et héritiers chacun pour un tiers de défunte honorable femme Catherine DRANNE (DIANNE ?) leur mère, décédée le 7 juillet 1590( ?).
Vue 41, cote 11 : 1592 – Contrat de mariage de NOUROY x AMAULRY. Jean AMAULRY, père d’icelle veuve.
[351–44] Le samedi 28 octobre 1600 – Inventaire après le décès de Pauline LESCART. A la requête de son mari, Paul SCELLIER (SELLIER), charpentier de la grande cognée ( ?), demeurant à Paris rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul, tant en son nom que comme père et tuteur naturel de Paul SELLIER et Antoine SELLIER, leurs enfants mineurs.
Dans le [27] ci-dessus, on trouve une écriture
con com que je n’avais pas rencontré jusqu’à présent : dans « Compagnies » et « Contenant » « Constitué » :
Ça peut vous servir.
Bon dimanche à tous.
Gratin de pommes de terre :
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Gratin de Viard :
Christophe.