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Aide à l'indexation des inventaires de Me Cléophas Péron (1562 à 1595)

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Inventaires de Cléophas Péron - AN ET-XCI-135 (1590-1591)

233 JD
237 JD

245 Ch
254 Ch

264 JD
280 JD

287 Ch
316 Ch

323 JD
328 JD

335 Ch
337 Ch

345 JD
350 JD

357 Ch
362 Ch

366 Ch
372 Ch

376 JD
380 JD

383 Ch
389 Ch
394 Ch
398 Ch

412 Ch
418 Ch

430 Ch
438 Ch
444 JD
447 JD
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494
496
499

Tu te sers, Anthony
;)

Bonsoir à vous,

[135 - 233] 5 septembre 1591 – Inventaire dressé après le décès de feu Jacques MARIGAULT, maître passementier au faubourg Saint-Jacques, natif de la paroisse Saint-Nicolas de Vil… en (Dessevre ?), diocèse d’Évreux, à la requête de sa veuve Madeleine MUSNIER, demeurant à Paris, rue de la Croix, en son nom, et pour la conservation de ses droits et conventions portées par son contrat de mariage, et encore comme ayant fait et payé (frayé) les obsèques et funérailles dudit défunt.
(vue 236) contrat de mariage

[135 - 237] 2 septembre 1591 – Inventaire dressé après le décès de feu Nicolas PETIT, marchand boulanger, à la requête de sa veuve Catherine HAMELIN, demeurant rue Saint-Denis, en une maison où est pour enseigne le Couffin, paroisse Saint-Laurent, tant en son nom que comme exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt, et encore comme tutrice élue par justice aux personnes et biens de leurs enfants mineurs Jacques PETIT, Firmin PETIT, Nicolas PETIT et Catherine PETIT, et en la présence d’honorable homme Nicolas HAMELIN, marchand bourgeois de Paris, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs, et aussi en la présence de Nicolas GUESNON, aussi marchand boulanger à Paris, en son nom à cause d’Isabelle PETIT sa femme, lesdits PETIT, frères et sœurs, enfants et habiles à se dire, porter et nommer héritiers, chacun pour un cinquième, dudit défunt leur père.

Énigme sur l'origine du 1er défunt...
À bientôt.
JD
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(vide : fausse manœuvre 8-) )
JD
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Bonjour à tous :)

en voici deux :

[135–245] Le mercredi 7 août 1591 – Inventaire après le décès de honorable homme Jean CHERON, marchand drapier maître chaussetier, bourgeois de Paris. A la requête de honorables hommes Jean SAVEAU, marchand de vins, bourgeois de Paris demeurant sous les piliers des halles, paroisse Saint-Eustache, au Croissant, et Claude BAGUENART, marchand drapier, aussi bourgeois de Paris, demeurant rue des Lombard, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, au nom et comme exécuteurs du testament du défunt. Et en la présence de noble homme maître Charles de Villemontée, procureur du Roi, stipulant pour les héritiers du défunt, absents de Paris. Les biens étant en une chambre au deuxième étage de la maison du Croissant, en laquelle chambre le défunt était demeurant, et où il serait décédé, montrés par ledit SAVEAU et Louise LEZÉ sa femme, et BAGUENART et Claude LEZÉ sa femme.
Vue 249, cote 4 : 1556 – Accord passé à Pontoise entre Jean CHERON l’aîné, marchand tonnelier demeurant audit Pontoise d’une part, et Jean CHERON le jeune, compagnon drapier et chaussetier à Paris, pour raison du différend qui était entre eux à cause des héritages à eux échus par le trépas de feus Asselme DESCOCOQS, femme de Jean CHERON leurs père et mère et de Charles VETIT leur frère.
Vue 252, cote 16 : 1591 – Partage entre ledit Jean CHERON d’une part et lesdits Claude BAGUENART, Claude LEZÉ sa femme, Jean SAVEAU et Louise LEZÉ sa femme, lesdites femmes sœurs et héritières chacune pour moitié de feue Andrée DO leur mère, au jour de son décès femme en secondes noces dudit Jean CHERON.

[135–254] Le vendredi 8 mars 1591 – Inventaire après le décès de honorable homme Jean LE TENEUR (LE TAIGNEUR), maître chandelier de suif à Paris. A la requête de honorable femme Françoise BOBELAINE (BOBELYNE), sa veuve, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt. Et en la présence de Nicolas LE TENEUR, frère du défunt, marchand laboureur demeurant à la Fonderie, paroisse de Bussières (77750) en Brie, en son nom et comme se faisant fort de Marie MAILLARD, veuve de Jacques LECOCQ, demeurant en ladite Fonderie, et de Marie CHARPENTIER, femme séparée de biens de Nicolas SYMONNET demeurant à Sablonnières (77510), lesdites Marie MAILLARD et Marie CHARPENTIER, ses nièces maternelles et habiles à être héritières par représentation avec ledit Nicolas LE TEIGNEUR dudit défunt. Les biens étant en une maison et lieux sise rue du Temple en laquelle la veuve est demeurant et où serait décédé le défunt.
Vue 261, cote 5 : 1586 – Inventaire après le décès de Perrette de SAINT-GERMAIN, à la requête de son mari, ledit Jean LE TENEUR.
Vue 261, cote 6 : 1586 – Contrat de mariage Jean LE TENEUR x Françoise BOBELYNE. Olivier JOUVELET, fils de défunt Clément JOUVELET et de ladite BOBELYNE sera nourri.
Vue 262 : 1559 – Contrat de mariage Perrette de SAINT-GERMAIN et Jean LE TENEUR, insinué en 1586.

A plus tard.
Christophe.
lisa90
male
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Bonsoir les amis (bon, désolé, je m'ai trompé de compte)

Encore 2 :

[135 - 264] 27 mars 1591 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Toussaint DESMARETZ / DESMARESTZ, maître menuisier faiseur de coches bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Catherine DUBOYS, tant en son nom que comme exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté dudit défunt son mari, et encore comme tutrice et curatrice créée et ordonnée par justice aux personnes et biens de leurs enfants mineurs Adrien DESMARETZ, âgé de 20 ans ou environ, Françoise DESMARETZ l’aînée, âgée de 16 ans ou environ et Françoise DESMARETZ la jeune, âgée de 9 ans et demi ou environ, et en la présence d’Henry DENISART, maître charron à Paris, demeurant rue Gréneta, et de Madeleine DESMARETZ sa femme, aussi fille dudit défunt et de feue Jacqueline POTTERY, première femme d’icelui défunt, en leur nom à cause de ladite Madeleine, et encore ledit DENISART au nom et comme subrogé tuteur desdits mineurs. Lesdits enfants DESMARESTZ habiles à être héritiers chacun pour un quart dudit défunt.
Les biens montrés et enseignés par ladite veuve et par Claude RENARD, fils de ladite veuve et de feu François RENARD son premier mari.
(vue 276, cote 14) contrat de mariage entre Madeleine DESMARETZ et feu Robert GUICHART son premier mari (d’après cote 16)
(vue 276, cote 15) contrat de mariage entre lesdits Henry DENISART et Madeleine DESMARETZ
(vue 277, cote 21) contrat de mariage DESMARETZ – DUBOYS ; Pierre DUBOYS et Jacqueline BLANCHART père et mère de ladite femme.

[135 - 280] 24 juillet 1591 – Inventaire dressé après le décès, survenu 21 mois environ auparavant, de défunte Marguerite ANDELLE, à la requête de son veuf Roland DAMOURE, marchand laboureur demeurant à Aubervilliers, et de présent à Paris, rue du Bourg-l’Abbé, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, en une maison où est pour enseigne l’Âne-Rayé, à cause des troubles et guerres, tant en son nom que comme tuteur élu par justice à la personne et aux biens de leurs enfants mineurs Michelle DAMOURE, âgée de 7 ans et demi, et Claude DAMOURE, âgée de 6 ans ou environ.
(vue 283) feu Raoul DAMOURE, frère dudit veuf.

Bonne nuit et à bientôt.

JD
cdemaz
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Bien le bonjour chers tous, :)

voici ma contribution à cette excavation de la montagne Péron :

[135–287] Le lundi 20 mai 1591 – Inventaire après le décès de Guillaume POICTEVIN, avocat en la cour de parlement. A la requête de honorable femme Geneviève de LAULNAY (signe de LAUNOY) veuve en dernières noces du défunt, et auparavant de Audo (Odo) BESCHU, en son nom et encore comme tutrice naturelle des enfants mineurs d’elle et dudit défunt BESCHU. Et aussi à la requête et présence de maître Pierre POGNET, procureur au Châtelet de Paris et Catherine POICTEVIN sa femme, Marie POICTEVIN, veuve de maître Gabriel REMON, procureur en ladite cour de Parlement, Antoine POICTEVIN, mesureur de sel à Paris, en leur nom. Et encore ledit POGNET comme tuteur et curateur créé le jour de samedi dernier au lieu dudit défunt Guillaume POICTEVIN, de Catherine, Pierre et Claude HUART, enfants mineurs de défunt maître Pierre HUART, procureur audit Châtelet de Paris et de Anne POICTEVIN sa femme. Lesdits Marie, Antoine, Catherine POICTEVIN, et mineurs HUART par représentation de leur défunte mère, et Pierre POICTEVIN, écuyer, sieur du Petit Chenebecart, habiles à se dire, porter et nommer héritiers chacun pour un cinquième dudit défunt Guillaume POICTEVIN, frère desdits Marie, Pierre Antoine et Catherine POICTEVIN, et oncle desdits mineurs HUART. Et aussi en la présence de maître Denis BAGNILLET, aussi procureur audit Châtelet, subrogé tuteur desdits desdits mineurs HUART. Les biens étant en une maison et lieu sise à Paris, rue Galande, où lesdits défunt et veuve était demeurant, et où il serait décédé, montrés entre autre par Maurice BESCHU, fils d’icelui défunt BESCHU et de ladite de LAULNAY.
Vue 305, cote 1 : 1572 – Inventaire à la requête de Guillaume POICTEVIN, procureur au Châtelet, en son nom et comme exécuteur du testament de défunte Jacqueline de TROYES sa femme, et encore comme ayant la garde de Marie, Guillaume, Pierre, Antoine et Catherine POICTEVIN leurs enfants mineurs.
Vue 306, cote 6 : 1585 – Contrat de mariage POICTEVIN x de LAULNAY.
Vue 306, cote 7 : 1590 – Echange entre Pierre POICTEVIN, écuyer et damoiselle Geneviève de BIZEMONT sa femme ; et Guillaume POICTEVIN et Geneviève de LAULNAY sa femme, la maison de la rue Galande.
Vue 311, cote 14 : 1584 – Inventaire à la requête de ladite de LAULNAY, après le décès de Odo BESCHU.

[135–316] Le jeudi 17 janvier 1591 – Inventaire après le décès de maître Jean de MONQUERON, procureur au Châtelet de Paris. A la requête de honorable femme Catherine de LA MOTHE, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice de Jacques de MONQUERON, âgé de 6 ans et demi ou environ, leur fils mineur. Et aussi à la requête de maître Robert VORSE, prévôt audit Châtelet comme tuteur de Gilles MONQUERON, âgé de 15 ans ou environ, fils mineur du défunt et de feue Catherine GOURJON, jadis sa première femme. Et en la présence de maître Nicolas VORSE, avocat au Châtelet de Paris, subrogé tuteur d’iceux mineurs, habiles à hériter chacun pour moitié du défunt leur père. Les biens étant en une maison et appartenances d’icelle, sise à Paris, rue Quincampoix, en laquelle le défunt était demeurant, et à présent sa veuve.
Vue 319, cote 1 : 1590 – Testament de défunt François ( ?) LE COCQ, natif de Paris, fils de feu François LE COCQ, écuyer, seigneur de Mondeville et de la Rapée.
Vue 321, cote 11 : 1582 – Inventaire après le décès de Catherine GOURJON, à la requête de Jean de MONQUERON, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants.
Vue 322, cote 12 : 1582 – Contrat de mariage de Jean de MONTQUERON x Catherine de LA MOTHE.

335 et 337 STP JD.
Merci

Christophe.
Dernière modification par cdemaz le 06 avril 2020, 10:00, modifié 1 fois.
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Bonjour et bon dimanche.

Voici 2 synthèses ; Christophe, tu as des POICTEVIN, et moi des LYMOSIN ; des voisins sans doute :) ...

[135 - 323] 22 juin 1591 – Inventaire dressé après le décès de feu Jacques VABOIS le jeune, maître passementier à Paris, à la requête de sa veuve Catherine GODART, demeurant rue Saint-Denis, devant le Ponceau, en son nom et comme tutrice et curatrice créée par justice aux personnes et biens de leurs enfants mineurs Marie VABOIS et François VABOIS, et en la présence d’honorable homme Jacques VABOIS, aussi maître passementier bourgeois de Paris, demeurant en ladite rue, paroisse Saint-Sauveur, aïeul paternel et subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 327) contrat de mariage ; Guillaume NYOBET, marchand bourgeois de Paris, oncle et tuteur de ladite veuve

[135 - 328] 30 mai 1591 – Inventaire dressé après le décès de défunte Barbe COPPEAU, à la requête de son veuf Nicolas LYMOSIN, marchand maître charcutier à Paris, demeurant rue du Temple, paroisse Saint-Nicolas, tant en son nom que comme ayant fait et administré les obsèques et funérailles de la défunte, que comme tuteur et curateur créé et ordonné par justice aux personnes et biens de leurs filles mineures Charlotte LYMOSIN et Marie LYMOSIN, et en la présence d’honorable homme Pasquier CRESTIEN marchand bourgeois de Paris, demeurant rue des Vertus, cousin et subrogé tuteur desdites mineures.
Les biens montrés et enseignés par ledit veuf et par Claude CHIBON sa mère.
(vue 334) partage après le décès de défunts Richard COPPEAU et Catherine THEVENET sa femme, père et mère de ladite défunte, entre lesdits LYMOSIN et COPPEAU d’une part, et Nicole COPPEAU, femme séparée de Nicolas QUINGÉ d’autre part.

À bientôt
JD
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Re salut tatousse, ;)

deux supplémentaires :

[135–335] Le samedi 15 juin 1591 – Inventaire après le décès de Geneviève LOZIER. A la requête de son mari, Fiacre FORMENT, maître menuisier demeurant à Paris rue Dienne ( ?), paroisse Saint-Gervais, en son nom et comme ayant les obsèques de la défunte, auparavant femme de feu [blanc] LECOURT, maître verger à Paris. Et à la conservation de Côme LECOURT, juré mesureur de sel à Paris, à présent absent de Paris, fils desdits défunts LECOURT et Geneviève LOZIER. Les biens étant en une maison où ledit FORMENT est demeurant sise en ladite rue Die… où la défunte serait décédée.

[135–337] Le mardi 21 mai 1591 – Inventaire après le décès de Gillette TOURNEVALLÉE. A la requête de son mari, honorable homme Jacques de LANOUÉ (de LA NOUÉE), marchand (doreur et graveur), bourgeois de Paris demeurant rue Frépault, paroisse Saint-Nicolas, à l’Image Notre-Dame, tant en son nom que comme ayant fait les obsèques de la défunte que comme tuteur et curateur de Jacques de LANOUÉE, âgé de 6 ans ou environ, leur fils mineur. Et en la présence de Roch BANESSE, maître fourbisseur à Paris, demeurant au Carrefour Guillery, oncle à cause de sa femme, et subrogé tuteur dudit mineur.

La rue m'intrigue :?
Si tu as une idée, je prends.

En parlant de prendre, je réserve les 357 et 362.
Merci.

Christophe.
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Re,

d'abondant, une autre doublette :

[135–357] Le vendredi 3 mai 1591 – Inventaire après le décès de Etienne PICART, gagne-denier. A la requête de Marie DURANT, sa veuve demeurant à Paris, rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur, en son nom. Et en la présence de Claude LECONTE, fille de défunt Jean LECONTE et de feue Barbe PICART sa femme, sœur du défunt, en son nom et comme se faisant fort de Madeleine LECONTE sa sœur. Lesdites Madeleine et Claude PICART, habiles à être héritières du défunt. Et encore en la présence de Jeanne SERVAULT, fille de défunt Claude SERVAULT et de Marie PICART, aussi sœur du défunt PICART, âgée de 22 à 23 ans, en son nom et comme se faisant fort de Denise SERVAULT, sa sœur, âgée de 12 ans et demi ou environ. Lesdites Jeanne et Denise SERVAULT, aussi habiles à être héritières du défunt leur oncle, chacun pour un quart. Les biens étant en une maison en ladite rue Saint-Denis, où est pour enseigne le Pied de Biche, où la veuve est demeurante.
Vue 360, cote 1 : 1570 – Contrat de mariage PICART x DURANT, et don mutuel. Ratification du contrat en 1578.

[135–362] Le samedi 23 février 1591 – Inventaire après le décès de Toussaint LUCAS, maçon tailleur de pierres à Paris, natif de près de Caen en Normandie. A la requête de Antoinette GILLET, sa veuve, demeurant rue et près la porte Saint-Martin, paroisse Saint-Nicolas, au nom et comme ayant fait les obsèques du défunt. Les biens étant en un bas des appartenances d’une maison et lieu sise en ladite rue Saint-Martin, près les égouts, où le défunt serait décédé.

Bonne soirée
Christophe.
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Petite doublette :

[135 - 345] 19 juin 1591 – Inventaire dressé après le décès de Claude NICOLLET, à la requête de son veuf Robert VIGNERON, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue des Vieux-Augustins, paroisse Saint-Eustache, en son nom, des biens à lui demeurés par le lot et partage fait entre lui et Jean DUMOUTIER / DUMOUSTIER, fils de la défunte et de feu Jean DUMOUTIER, et seul héritier de la défunte.
(vue 348) partage entre ledit DUMOUTIER et ledit VIGNERON.

[135 - 350] 13 mai 1591 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 7 mai 1591, de défunte Marie LE ROY, à la requête de son veuf Geoffroy MYGNOT / MIGNOT, marchand maître peignier tabletier à Paris, demeurant rue Frépillon, au Chapelet, paroisse Saint-Nicolas, en son nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, et en la présence de Jean MYGNOT, aussi marchand maître peignier tabletier à Paris, fils et habile à être seul héritier d’icelle défunte.

Bonne nuit et à bientôt
JD
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Bonjour à Tous,

@ Alexis : je suppose qu'il s'agit d'une mauvaise manipulation ?
Nous ne faisons pas des transcriptions mot à mot, mais des analyses. Votre interprétation est un peu erronée, et je vais rester sur la mienne. ;)

Voici mes premières analyses du jour :

[135–366] Le vendredi 29 mars 1591 – Inventaire après le décès de Jeanne THIERY. A la requête de son mari, Pierre GAVEREL, maître sellier lormier à Paris demeurant rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte, et encore comme tuteur naturel de Charlotte GAVERELLE, âgée de 15 ans ou environ, et Elisabeth GAVEREL, âgée de 13 ans environ, leur filles mineures.

[135–372] Le mercredi 17 avril 1591 – Inventaire après les décès de Louis LEFEBVRE et Catherine RESTROU sa femme, qui seraient décédés savoir ladite RESTROU un an dès le mois sont ou environ, et ledit Louis LEFEBVRE, dès le mois de septembre 1590. A la requête de Laurent LEFEBVRE (signe LEFEVRE), laboureur de vignes demeurant à Saint-Ouen lès Paris, de présent résidant en cette ville de Paris, rue des Filles-Dieu, au nom et comme tuteur élu par justice ce jour d’hui à la personne et biens de Jacques LEFEBVRE, son neveu, fils des défunts. Et en la présence de Pierre BONNEUIL, aussi oncle et subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en une chambre et lieu des appartenances d’une maison sise rue des Filles Dieu, en laquelle chambre lesdits défunts avaient mis lesdits biens pour la conservation d’iceux, attendu les troubles et guerres.

A plus tard
Christophe.
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Re bonjour,

deux autres :

[135–383] Le mardi 12 février 1591 – Inventaire après le décès de Marie DUMOUTIER (MOUSTIER). A la requête de son mari, Gervais BENOIST, marchand boulanger demeurant de présent en cette ville de Paris, rue Montorgueil, près des remparts, paroisse Saint-Eustache, et ci-devant demeurant ès faubourgs de Paris, hors la porte Saint-Martin, en son nom et comme ayant fait les obsèques de la défunte sa femme, et auparavant femme de défunt Florent GUELINE, et encore comme tuteur naturel de Marie BENOIST, âgée de 5 ans ou environ, et de Geneviève BENOIST, âgée de 2 ans ou environ, filles mineures de lui et de la défunte. Et en la présence de Josse GUELINE, tapissier à Paris, âgé de 24 ans ou environ, fils dudit défunt Florent GUELINE et de la défunte Marie DUMONTIER ; et aussi en la présence de Roland THOINY (signe THOYNY), aussi marchand boulanger, oncle dudit Josse GUELINE. Les biens étant en une maison de ladite rue Montorgueil où ledit BENOIST est demeurant, et en la maison de Ferry BENOIST, père dudit Gervais BENOIST, rue … Chantier près Saint-Honoré (vue 386).
Vue 387, cote 1 : 1582 – Inventaire à la requête de ladite Marie DUMOUSTIER, après le décès de son mari Florent GUELAINE, tant en son nom que comme tutrice de Josse et Catherine GUELAINE, leurs enfants.
Vue 388 : ledit BENOIST, pour obvier à la perte et ravissement qui eust pû être fait par les soldats et gens de guerre, attendu la misère et calamité du temps et guerre (…) il aurait été contraint faire abattre et démolir lesdites démolitions de bois ci-après mentionnées, ruines d’une maison sise ès faubourgs Saint-Denis, où était pour enseigne le Plat d’étain. (suit la prisée des pièces de bois).

[135–389] Le jeudi 7 mars 1591 – Inventaire après le décès de . A la requête de Henri ORFEVRE (signe AUFEVRE), marchand laboureur demeurant à Bobigny et de présent résident en cette ville de Paris par le moyen des guerres, au nom et comme tuteur élu par monsieur le prévôt de Blanc-Mesnil le 9 février, de Nicolas GILLAIN, fils de défunts Jean GILLAIN et Louise JALLE ( ?), sa femme, en leur vivant demeurant au Bourget, et au jour des trépas desdits défunts Jean GILLAIN et sa femme, en cette ville de Paris, rue Saint-Martin, qui serait décédé depuis 7 ou 8 mois sont ou environ. Et en la présence de Nicolas HEMART, laboureur demeurant au Bourget ( ?), oncle maternel et subrogé tuteur dudit mineur. Et aussi en la présence de Nicolas de LA CHARTRE demeurant audit Bourget, oncle d’icelui mineur. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Grenéta, où pend pour enseigne le Gros Tournois.

a bientôt
Christophe.
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Bonsoir à tous,

mes derniers du jour :

[135–394] Le samedi 2 mars 1591 – Inventaire après le décès de Guillaume BENARD, maître chapelier à Paris, survenu il y a 8 jours environ. A la requête de Antoine BENARD, chapelier à Paris demeurant rue aux Ours, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, en son nom, fils et habile à être seul héritier du défunt, et encore comme exécuteur du testament dudit défunt. Et aussi à la requête et présence de Anne COULOMBIER, veuve dudit défunt Guillaume BENARD, et auparavant veuve de feu Jean COTELLE, en son nom pour la conservation de ses droits et conventions matrimoniales portées par leur contrat de mariage. Les biens étant en une maison et lieu sise en ladite rue aux Ours, où le defunt et veuve étaient demeurant, et où le défunt est décédé.
Vue 397, cote 1 : 1590 – Contrat de mariage Guillaume BERNARD x Anne COULOMBIER.
Vue 397, cote 2 : 1590 – Inventaire après le décès de Catherine LE VAST, à la requête de son mari, Guillaume BERNARD

[135–398] Le lundi 25 février 1591 – Inventaire après le décès de honorable femme Odette (Oudette, Audette) BAUDOUIN, survenu samedi 23 février 1591. A la requête de son mari, noble homme Laurent de LACOMBE, bourgeois de Paris, demeurant rue au Plâtre, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte. Et en la présence de honorables personnes maître Pierre AUBRY, procureur au Châtelet de Paris et Guillemette BAUDOUYN sa femme ; Jacqueline BAUDOUYN, veuve de maître Médéric REMY, clerc commis au greffe des insinuations du Châtelet de Paris, demeurant rue de Quincampoix, paroisse Saint-Nicolas, et Durant BAUDOUYN, huissier collecteur des finances demeurant rue des Rosiers, paroisse Saint-Gervais. Lesdits Guillemette, Jacqueline, et Durant BAUDOUIN, frère et sœurs, habiles à être héritiers chacun pour un tiers de la défunte leur sœur.
Vue 406, cote 1 : 1583 – Contrat de mariage DE LACOMBE x Audette BAUDOIN.

A demain,
Christophe.
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cdemaz a écrit : 06 avril 2020, 08:54 @ Alexis : je suppose qu'il s'agit d'une mauvaise manipulation ?
Nous ne faisons pas des transcriptions mot à mot, mais des analyses. Votre interprétation est un peu erronée, et je vais rester sur la mienne. ;)
Curieux, en effet, sur la forme et sur le fond. Un usager qui poste pour la 1ère fois... À suivre.

Demain, je m'y remets, Christophe :)
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Bonjour à tous, :)

Voici mes premiers du jour :

[135–412] Le jeudi 31 janvier 1591 – Inventaire après le décès de Pierre DAR, maître chandelier en suif à Paris. A la requête de Jeanne de PIERREFRITTE, sa veuve, demeurant rue au Maire paroisse Saint-Nicolas, au nom et comme ayant fait les obsèques du défunt, et encore comme tutrice de Constantin DAR, leur fils mineur. Et en la présence de Jean de VOUGES, aussi maître chandelier de suif à Paris, demeurant rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, parrain et subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en une maison de ladite rue au Maire où la veuve est demeurant.
Vue 417, cote 1 : 1582 – Contrat de mariage Pierre DART x Jeanne PIERREFRITTE. Est accordé que Catherine et Claude DELACROIX, enfants de feu Etienne DELACROIX, auparavant mari de ladite de PIERRFRITTE et d’elle, seront nourris.

[135–418] Le mercredi 13 février 1591 – Inventaire après le décès de Marguerite LAIZIER, survenu le 8 novembre 1590. A la requête de son mari, Jean LAIZY, laboureur demeurant à Aubervilliers, et de présent en cette ville de Paris, rue des Gravilliers, paroisse Saint-Nicolas, en son nom et comme ayant fait les obsèques de la défunte, et encore au nom et comme tuteur de Nicolas et Girard LAIZY, leurs enfants mineurs. Et en la présence de Jacques AUVRERY (signe AUVRY), aussi laboureur demeurant audit Aubervilliers, de Perrette LAIZY sa femme, de Guillaume FURRET, charpentier demeurant audit Aubervilliers, de Martine LAIZY sa femme, et de Robine LAIZY, femme de Gilles GRIMPEREL, pareillement demeurant audit Aubervilliers. Lesdits Perrette, Martine, Robine LAIZY et mineurs dessus-nommés, enfants dudit LAIZY et de la défunte, et habiles à être héritiers chacun pour un cinquième d’icelle défunte leur mère. Les biens étant en une chambre et lieu des appartenances d’une maison sise en ladite rue des Gravilliers, où ledit LAIZY est demeurant.
Vue 421, cote 2 : 1570 – Echange Ledit Jean LEZY l’aîné, se faisant fort de Marguerite LEZIER sa femme, d’une part, et Michel PAIN DARD, se faisant fort de Perrette LEZIER sa femme d’autre part.

A plus tard
Christophe.
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http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=44344
Inventaires de Cléophas Péron - AN ET-XCI-136 (1592)

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Depuis longtemps promis :

[135 - 376] 27 mars 1591 – Inventaire dressé après le décès de défunt Pierre CHASTELLAIN, maître vinaigrier à Paris, demeurant à la rue des Gravilliers, devant la rue des Vertus, à la requête de son frère honorable homme Thomas CHASTELLAIN, aussi maître vinaigrier bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt, et à la conservation du droit de Martine DELARIVE, veuve de feu Joseph CHASTELLAIN, vigneron demeurant à Cuffy au Marel (02880 Cuffies) près de Soissons, père et mère dudit défunt, icelle veuve demeurant audit lieu de Cuffies et habile à être héritière quant aux meubles et conquêts immeubles dudit défunt.

[135 - 380] 22 février 1591 – Inventaire dressé après le décès de feu Nicolas DE BAUVILLE, maître tissutier rubanier à Paris, à la requête de sa veuve Catherine LE FEURE, demeurant de présent rue Saint-Martin à Paris, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, en son nom, pour satisfaire à la coutume, et à la conservation des droits de leur fils mineur Michel DE BAUVILLE, âgé de 6 ans ou environ, et autres qu’il appartiendra, et en la présence d’honorable homme Nicolas DUBOYS, marchand passementier à Paris, demeurant sur le Pont-Notre-Dame, au Chaudron, subrogé tuteur de Geneviève DE BAUVILLE sa nièce, âgée de 10 ans ou environ, fille mineure d’icelui défunt et de feue Radegonde DUBOYS sa première femme, lesdits Geneviève et Michel DE BAUVILLE frère et sœur germains, enfants et habiles à être héritiers chacun pour une moitié dudit défunt leur père.
Les biens étant en une maison sise rue du Mont-Sainte-Geneviève, au dessus des Boucheries, en laquelle ledit défunt est décédé.

Bonne journée à tous.
JD
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