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Aide à l'indexation des inventaires de Me Jean Levasseur (1637 à 1651)

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Inventaires de Jean Levasseur - AN ET-XLV-258 (1642-1646)

400 JD
423 JD


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Inventaires de Jean Levasseur - AN ET-XLV-259 (1647-1651)

1 B
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12 Ch il manque une page entre les vues 15 et 16,
18 Ch
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156 JD
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D'autres nouvelles de 1646 :

[258 - 400] 28 avril 1646 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 30 mars 1646, de feu noble homme Antoine NYNAN, conseiller du Roi, receveur général des finances à Limoges, à la requête de sa veuve damoiselle Élisabeth SAULGER, demeurant à Paris, rue de Montmartre, paroisse Saint-Eustache, tant en son nom, à cause de leur communauté de biens, que comme tutrice de leurs enfants mineurs Antoine NYNAN, âgé de 10 ans, Marie NYNAN, âgée de 8 ans, Nicolas NYNAN, âgé de 2 ans et Guillaume NYNAN, âgé de 9 mois, habiles à se dire, porter et nommer héritiers dudit défunt, et en la présence de noble homme Jacques DE LA ROCHE, conseiller du Roi, trésorier provincial de l’extraordinaire des guerres en Limousin, demeurant à Paris, rue Tiquetonne, susdite paroisse, subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant, tant en la maison de Paris, en laquelle le défunt est décédé, qu’en celle de Villiers (91700 Villiers-sur-Orge), appartenant à la succession du défunt.
(vue 414) cote 1 : 1630 - contrat de mariage entre lesdits Antoine NYNAN et Élisabeth SAULGER.

[258 - 423] 16 février 1646 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 5 février 1646, de feu Nicolas MAUPRIVÉ, maître chandelier en suif à Paris, à la requête de sa veuve Suzanne TAILLEPIED, demeurant rue du Boulloir, paroisse Saint-Eustache, et en l’absence des héritiers du défunt.
(vue 428) cote 1 : 1641 - contrat de mariage entre lesdits Nicolas MAUPRIVÉ et Suzanne TAILLEPIED.

Bonne soirée.
JD
cdemaz
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Je vous souhaite à tous un bon début de semaine, :)

Mes propositions du jour, dont Pascal pourra peut-être identifier la localisation de la Bélinière ?

[259–23] Le 23 mai 1647 – Inventaire après le décès de dame Marguerite BARJOT, veuve de maître André de BOUTTON, chevalier, seigneur de Chantemesle (Chantemelle), survenu en sa maison du Forêt (76220). A la requête de leur fils, maître Hugues de BOUTTON (signe de BOUTON), chevalier seigneur de Chantemesle et Synancourt, demeurant au Forêt (Le Forêt, 76220), paroisse d’Auchy en Bray (Villers-sur-Auchy, 60650), étant de présent à Paris, logé au faubourg Saint-Germain, rue Princesse, tant en son nom, comme exécuteur du testament de la défunte, que comme tuteur des enfants mineurs de défunts Philbert de BOUTTON, écuyer, sieur de Chantemesle et de damoiselle Claude de ROUVROY, et encore tuteur de Claude de BOUTTON, fille mineure de défunt maître Nicolas de BOUTTON, chevalier seigneur de Bongenoust, gouverneur de Verdun, et dame Anne de LIGNÉVILLE, à présent sa veuve ; de Guy BOHIC, écuyer, sieur de la Huittière, demeurant à Paris rue des Mathurins, paroisse Saint-Séverin, aussi exécuteur du testament de la défunte. Aussi à la requête et présence de damoiselle Marguerite de LA FONTAYNE, femme et procuratrice de Jean de BELIN (signe de BLAIN), écuyer, sieur de la Bélinière (demeurant en sa maison seigneuriale de la Bellinière= la Blinière, paroisse de Louvaines (49500) en Anjou, dans la procuration annexée), procuration passée à Angers le 6 avril 1647 ; et noble homme Guillaume DANTY, agent des affaires de Son Altesse Royale, demeurant à Paris, rue du Mûrier, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de lui et de défunte damoiselle Anne de LA FONTAINE sa femme, et encore comme tuteur de Victor Léon de LA FONTAYNE, écuyer, sieur de Bessancourt et damoiselle Louise de LA FONTAINE, à ce présents, enfants mineurs de défunts Louis de LA FONTAINE, écuyer, sieur de Bessancourt et damoiselle Anne de BOUTTON jadis sa femme leur père et mère. Tous lesdits sieur de Sinancourt en son nom et de son chef, ladite Marguerite de LA FONTAINE et tous les mineurs sus-nommés, habiles à se dire héritiers de la défunte BARJOT, leur mère et aïeule. Et en l’absence de noble homme François d’IVRY, conseiller et secrétaire du Roi, maison et couronne de France et de ses finances, aussi exécuteur du testament d’icelle défunte. Les biens étant dans quelques malles dans une chambre de la maison de monsieur de Tours, sise à Paris, rue du Paon, près la porte Saint-Germain, et des titres qui étaient en la maison de mademoiselle d’INGRANDE ( ?), cousine de la défunte.
(vue 27) cote 1 : Mai et juin 1646 – Testament et codicille de Marguerite BARJOT, passés par-devant notaires royaux au bailliage de Clermont en Beauvaisis et de Beaumont et en la prévôté d’Augy (Auchy).
(Vue 29) cote 11 : 1640 – Récépissé de la remise de l’inventaire de la succession du feu sieur de LA FONTAINE, fait au bailliage de Vermandois à Noyon le 27 janvier 1632.
(vue 39) cote 69 – 1614 – Tutelle par laquelle ladite Marguerite BARJOT est élue tutrice des enfants mineurs du défunt et d’elle.
(vue 44) cote 98 : 1593 – Donation entre-vifs passée au bailliage d’Amiens, faite par Jean de BOUTTON, écuyer seigneur de Tierceville et le Forest, et damoiselle Claude ALLEXANDRE sa femme, à André de BOUTTON leur fils, d’un fief noble situé audit le Forêt, nommé le fief Maigret.
(vue 45) cote 99 : 1593 au bailliage de Senlis – Contrat de mariage André de BOUTTON x Marguerite BARJOT.

[259–47] Le mercredi 3 juillet 1647 – Inventaire après le décès de Robert POIRÉE, maître tisserand en toile, survenu le 25 juin 1647. A la requête de Marguerite de LHOSPITAL, sa veuve demeurant à Paris rue Saint-Vincent, paroisse Saint-Roch, en la maison de Jean Darret, menuisier à Paris, tant en son nom que comme tutrice élue ce jour d’hui, de Jacques POIRÉE, leur fils mineur. Et aussi à la requête de Jacques POIRÉE (signe PORRÉE), lieutenant de la louveterie du Roi, et garde à cheval des plaisirs de Sa Majesté, demeurant à Paris, rue des Orties, sur la butte et paroisse Saint-Roch. Et encore en la présence de Jacques de LHOSPITAL, marchand de chevaux, demeurant au faubourgs Saint-Germain-des-Prés, rue de Seine, paroisse Saint-Sulpice, subrogé tuteur dudit mineur. Lesdits Jacques POIRÉE l’aîné et Jacques POIRÉE le jeune, enfants et habiles à hériter du défunt leur père.
(vue 49) cote 1 : 1614 – Contrat de mariage Robert POIRÉE x Marguerite de LHOSPITAL. Noble et discrète personne maître Roger de LHOSPITAL, prêtre chanoine en la cathédrale d’Evreux, oncle de la future, promet 300 livres.

58 et 68 STP, Merci.

A plus tard
Christophe.
Dernière modification par cdemaz le 08 juin 2020, 10:06, modifié 1 fois.
pganier
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Le paroisse ne me dit rien, mais l'Anjou dépassait un peu le 49...

"La Bellinière' (je pense aussi à "la Bellicière"), ce n'est pas facile...
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Il me faudra regarder cet après-midi (sans garantie!) :(

Bonne journée
cdemaz
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Merci Pascal, ne cherche plus, j'ai trouvé ici :
Il s'agit de la commune de Louvaines (49500), et non Louvanciers comme je le lisais.
https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Port_-_Dictionnaire_historique,_g%C3%A9ographique_et_biographique_de_Maine-et-Loire,_tome_1.djvu/428

En voici d'autres :

[259–58] Le vendredi 22 novembre 1647 – Inventaire après le décès de Françoise DUBOUT (DU BOURG), survenu le 15 septembre 1647. A la requête de son mari en secondes noces, honorable homme Antoine PAILLET, maître bastier à Paris, y demeurant rue Saint-Honoré, au coin de la rue Jean Saint-Denis, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, tant en son nom que comme tuteur de Anne PAILLET, âgée de 2 ans et demi, leur fille mineure, élu le 19 novembre 1647. Ladite mineure seule héritière et pour le tout de la défunte sa mère. Et en la présence de Louis DUBOUT, maître charcutier à Paris, y demeurant rue Beaubourg, paroisse Saint-Merry, oncle et subrogé tuteur de la mineure. Les biens étant en ladite maison où il est demeurant et où elle est décédée, montrés par ledit PAILLET et par Marie AUBRY, veuve de Simon DUBOUT, mère de la défunte, demeurant avec ledit PAILLET, ainsi qu’en la maison de Sartrouville (78500).
(vue 63) Dans une écurie étant derrière les cuisines du Louvre, attenant la maison du Petit-Vendôme, qui abouti sur la rue Frémenteau.
(vue 64) cote 1 : 1638 – Contrat de mariage Antoine PAILLET x Françoise DUBOUT. (Le clerc à écrit par erreur Marie AUBRY).
(Vue 65) cotes 3-4 : Clients prestigieux, dont le duc d’Enguien, le marquis de Praslin, le maréchal de Gramont, monsieur de Vendôme, monseigneur le Prince, monsieur de la Rochefoucault, le Marquis de Créquy, le cardinal de Mazarin, monsieur de Villequier, le duc de Longueville, etc.

Maître bastier (fabricant de bâts), une profession pas très courante qui a requis que le sergent à verge fasse appel à des experts. Incidemment, on retrouve ledit Antoine PAILLET, muletier, en marge de l’inventaire suivant (encore une agence matrimoniale cachée derrière une respectable étude notariale).Il ne s'agit pas du même Antoine PAILLET. Il y avait deux Antoine PAILLET, frères, en effet le Antoine PAILLET, veuf DUBOUT/DU BOURG, meurt à Libourne en 1650, ce n'est donc pas lui dans la quittance de 1651. Cf. [259–305]

Et juste avant les huîtres et le foie gras :

[259–68] Le mardi 31 décembre 1647 – Inventaire après le décès de Pierre SURET, cocher de monsieur de Bragelongne. A la requête de Huguette BEAULIEU, sa veuve demeurant à Paris, rue Jean Saint-Denis, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en la maison où est pour enseigne le Petit Saint-Denis, tant en son nom que comme tutrice élue ce jourd’hui, de Nicole SURET, âgée de 2 mois, leur fille mineure. Et en la présence de Guillaume JACQUET, premier muletier de Monseigneur le Prince de Condé, cousin et subrogé tuteur de ladite mineure. Les biens étant en une chambre au 4e étage de la maison du Petit Saint-Denis, montrés par la veuve et par Louise DURANT, femme dudit sieur JACQUET.
(vue 71) cote 1 : 16 – Obligation faite au profit du défunt SURET par Guillaume SURET, son frère, de la somme de 63 livres.
(vue 71) 4 janvier 1651 – Quittance, appert Antoine PAILLET, muletier et ladite Huguette BEAULIEU sa femme, auparavant veuve dudit Pierre SURET, comme tutrice de ladite Nicole SURET, avoir reçu de Antoine Carpentier le jeune, la somme de 63 livres.

A plus tard.

Cf. [259–305]
Christophe.
Dernière modification par cdemaz le 13 juin 2020, 08:28, modifié 1 fois.
bertrandg
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Oui, il y a eu cafouillage, ça arrive. Pas de soucis.
Heureusement, c'était sur de "petits IAD".

Voici la suite :

[259 - 1] 7 janvier 1647 - Inventaire après le décès de défunt Hilaire HERNU, compagnon savetier à Paris, à la requête de Mathieu DESINDRE, maître savetier à Parie, demeurant rue des Coquilles paroisse Saint-Jean-en-Grêve, son exécuteur testamentaire. Aussi à la requête et en présence de François BOULLET (signe BOULAY), maître tailleur d'habits à Paris, demeurant rue Frementeau paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois et Catherine SYMON, sa femme, auparavant veuve de feu Marin HERNU débardeur de foin en pals de Paris, tuteur des enfants mineurs dudit défunt et de ladite SYMON héritiers du défunt leur oncle, ledit BOULLET ayant acquis les droits de la succession dudit défunt Hilaire HERNU. Et Pierre ROMIN, demeurant en la paroisse de Renouard, vicomté d'Argentan, procureur de Marie HERNU, veuve de Pierre MARTIN, héritière par moitié du défunt son frère.
(vue 3) cote 1 : 19 novembre 1646 - testament du défunt Hilaire HERNU, reçu Gaultier et Charlet notaires.

A valider le métier de Marin HERNU : je lis "desbardeur de fouin de pals" de Paris.

[259 - 5] 19 janvier 1647 - Inventaire après le décès de feu Gilles FOUQUET, organiste de l'église Saint-Honoré, à la requête de Nicole DIEU, sa veuve, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache, tutrice de Nicole, âgée de 20 ans environ et d'Antoine FOUQUET, âgé de 12 ans environ, leurs enfants mineurs. En la présence de Claude FOUQUET, maître passementier à Paris, demeurant susdites rue et paroisse, subrogé tuteur des mineurs, et Pierre FOUQUET, maître fourbisseur d'épées à Paris, demeurant rue Neuve, paroisse Saint-Eustache, tous lesdits FOUQUET frères et sœur, enfants du défunt.

Bonne journée à tous.

Bertrand
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bertrandg a écrit : 08 juin 2020, 13:24 A valider le métier de Marin HERNU : je lis "desbardeur de fouin de pals" de Paris.
Bonjour Bertrand ; peut-être "ès ports de Paris".
JD
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On nous a signalé :

[259 - 51] 16 juillet 1647 – Inventaire dressé après le décès d’Artus DE SAINT-LÉGER, maître menuisier à Paris et de Marie HUDEBERT sa femme, à la requête de Jeanne HUDEBERT, fille majeure usant et jouissant de ses biens et droiits, demeurant à Paris, rue Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent, au nom et comme tutrice élue aux personnes et biens de ses neveux Martin DE SAINT-LÉGER et Guillaume DE SAINT-LÉGER, enfants mineurs des défunts, et en la présence de Martin LANCHANTIN, menuisier à Paris, y demeurant rue Saint-Denis, paroisse susdite, au nom et comme subrogé tuteur desdits mineurs, habiles à se dire et porter héritier desdits défunts, qui demeuraient dans la même maison que ladite Jeanne HUDEBERT.

[259 - 53] 9 septembre 1647 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 7 juillet 1647, de feu Jean SORELLE, marchand de vins à Paris, à la requête de sa veuve Barbe BOUTRI / BAUTRY, demeurant rue du Mail, paroisse Saint-Eustache, en la maison où pend pour enseigne le Pied-de-Biche, tant en son nom à cause de leur communauté de biens que comme tutrice de leur fils mineur Nicolas SORELLE, âgé de 2 ans et demi, habile à se dire, porter et nommer héritier dudit défunt, et en la présence d’honorable homme Jean DUBOIS, bourgeois de Paris, y demeurant rue Saint-Honoré, susdite paroisse, oncle et subrogé tuteur dudit mineur.
(vue 57) cote 5 : 1643 - contrat de mariage entre lesdits Jean SORELLE et Barbe BOUTRI.

Bonne soirée.
JD
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Le Carnet du Jour :

Cette maison du Bon Chasseur est très connue :
https://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8

[259–72] Le 15 janvier 1648 – Inventaire après le décès de Jean DAUTARD, gagne-denier à Paris. A la requête de Etiennette BLED, sa veuve demeurant rue du Bouloir, paroisse Saint-Eustache, en la maison où est pour enseigne le Bon Chasseur, tant en son nom que comme tutrice de Anne DAUTARD, leur fils mineur, élue ce jourd’hui. Et en la présence de Daniel MALLARD (signe MAILLARD), marchand fripier à Paris, subrogé tuteur dudit mineur.

[259–75] Le 14 janvier 1648 – Inventaire après le décès de honorable femme Madeleine CROCQUOISON, survenu le 12 octobre 1647. A la requête de son mari, honorable homme André MAZIERE, maître maçon, bourgeois de Paris, y demeurant rue Traversière, paroisse Saint-Roch, tant en son nom que comme tuteur de Jacques, âgé de 8 ans, et André MAZIERE, âgé de 5 ans, leurs enfants mineurs, par acte du 11 janvier 1648. Et en la présence de Jean CROCQUOISON (signe CROQUOISON), bourgeois de Paris, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 80) cote 1 : 1639 – Contrat de mariage André MAZIERE x Madeleine CROQUOISON. Bernard CROCQUOISON et Marie DOUBLET, sa femme père et mère de la future, promettent 2 400 livres.
(vue 82) cote 4 : 1647 – Claude MAZIERE reconnaît devoir 270 livres audit André MAZIERE, son fils.

A demain
Christophe.
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Bonjour à tous,

quelques nouvelles de Jacques et Mathurin :

[259–125] Le 28 mars 1648 – Inventaire après le décès survenu le 23 mars 1648, de Florence LASNIER, veuve en dernières noces de Georges GOURANFLOT (GORANFLOT, GORENFLOT) dit LA RIVIERE, et auparavant de Jean MABILLE, maçon. A la requête de Jacques DU TOC, prêtre conseiller aumônier du Roi, trésorier de la Sainte-Chapelle du Vivier (Fontenay-Trésigny, 77610) en Brie, étant de présent à Paris, logé rue Champ Fleuri, en la maison de l’Image Saint-Claude, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, au nom et comme exécuteur du testament de la défunte. Et en la présence de Gabriel SOULLIGNAC (signe SOULIGNAC), maître vitrier à Paris, y demeurant rue des Fossés Montmartre, paroisse Saint-Eustache, et de Anne MABILLE, sa femme, fille et seule héritière et pour le tout de la défunte sa mère. Les biens étant en la maison de l’Image Saint-Claude en laquelle la défunte demeurait, et où elle est décédée.
(vue 133) cote 1 : 1648 – Testament de ladite Florence LASNIER.
(vue 133) cote 2 : 1625 – Contrat de mariage Georges GORANFLOT x Florence LASNIER. En 1645, elle renonce à la communauté d’entre elle et ledit défunt GORANFLOT, se tenant à son douaire et convention matrimoniales.
(vue 134) cote 3 : 1645 – Pierre-Nicolas et Pierre GORENFLOT, frères, marchands fripiers à Paris, renoncent à la succession dudit Georges GORANFLOT, leur oncle.

[259–137] Le 27 mai 1650 – Inventaire après le décès de Marie PAVIÉ. A la requête de son mari, Mathurin AUGER, maître maréchal à Paris, demeurant rue Frémenteau, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, tant en son nom, que comme tuteur de Louise, âgée de 14 ans, Marguerite, âgée de 9 ans, et Madeleine AUGER, âgée de 4 ans, leurs enfants mineurs. Et en la présence de Jean DE LA PORTE, maître fourbisseur et garnisseur d’épée à Paris, y demeurant rue de l’Arbre Sec, paroisse susdite, subrogé tuteur desdites mineures.

A plus tard, avec les 144 et 150 STP, merci.

Christophe.
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cdemaz a écrit : 09 juin 2020, 07:53 quelques nouvelles de Jacques et Mathurin :
Christophe, je suis jaloux de tes entrées en matière :D

[259 - 111] 12 février 1648 – Inventaire dressé après le décès de défunte Françoise VIART, à la requête de son veuf Nicolas CHEVRY, sergent à verge au Châtelet de Paris, tant en son nom que comme père et tuteur de leurs enfants mineurs Noël CHEVRY, âgé de 15 ans, Simone CHEVRY, âgée de 9 ans, et Mathurin CHEVRY, âgé de 6 ans, et en la présence d’honorable homme David CORNEILLE, maître tailleur d’habits à Paris, demeurant à Saint-Germain-des-Prés, rue des Boucheries, paroisse Saint-Sulpice, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant en une chambre d’une maison appartenant à Mr. le commissaire Du Fresne, sise rue Saint-Honoré.
(vue 113) cote 1 : 1625 - contrat de mariage entre lesdits Nicolas CHEVRY et Françoise VIART.

[259 - 115] 27 février 1648 – Inventaire dressé après le décès de défunt Me Charles DE LOMENIE / DE LOMENYE, conseiller du Roi en ses conseils, à la requête de noble homme Me Charles AUGIER / OGIER, avocat … conseiller de sa majesté et au Parlement de Paris, y demeurant rue des Ménétriers, paroisse Saint-Josse, comme tuteur honoraire de dlle Marie Angélique DE LOMENIE fille mineure du défunt et de dame Anne DE LESCOS son épouse.
Les biens étant en la maison de noble homme Jacques TREMOLIÈRE, conseiller et secrétaire du Roi et de ses finances, sise faubourg Saint-Germain-des-Prés, rue des Petits-Augustins, qui ont été délaissés par ledit sieur DE LOMENIE lors de son départ de cette ville.
(vue 122) cote 46 : 1629 - contrat de mariage entre lesdits Charles DE LOMENIE et Anne DE LESCONS ; Me Benjamin DE LESCOS père de la future ; Me Charles DE LESCOS son oncle.

Bonsoir Jacques et Mathurin, bonsoir à tous.
JD
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Bonjour à tous et à chacun,

Chapitre 6859, où l'on fait la connaissance d'une femme maîtresse... (d'école) :

[259–144] Le 8 mai 1648 – Inventaire après le décès de Jean EUDÉ (HEUDÉ), maître savetier à Paris. A la requête de Catherine BERNAY, sa veuve, demeurant rue des Cannettes en la maison où est pour enseigne l’Image Saint-Pierre et Saint-Paul, paroisse Sainte-Marie-Madeleine en la Cité, tant en son nom que comme mère et tutrice élue le 7 mai 1648 de Marguerite, âgée de 12 ans, et Pierre HEUDÉ, âgé de 9 ans et demi, leurs enfants mineurs. En la présence de Marin HEUDÉ, gagne-denier demeurant à Paris, rue Montorgueil, paroisse Saint-Sauveur, tant comme tuteur de Toussaint HEUDÉ, aussi fils mineur d’icelui défunt Jean HEUDÉ et de défunte Jeanne GASTEBOIS ses père et mère en premières noces, que comme subrogé tuteur de Marguerite et Pierre HEUDÉ.
(vue 147) cote 1 : 1634 – Contrat de mariage Jean EUDÉ x Catherine BERNAY.

[259–150] Le 25 mai 1648 – Inventaire après le décès de Barthélemye LE VASSEUR, fille majeure, et maîtresse de petites écoles. A la requête de maître Jean MORAN, prêtre habitué en l’église Saint-Eustache à Paris, et de Roland LE VASSEUR, receveur de la terre et seigneurie de Sainte-Geneviève (60730) près de Beauvais, conjointement exécuteurs du testament de la défunte. Et en la présence de Roland LE MERLE, brigadier sur la rivière pour l’entrée du vin au port au Plâtre, neveu et présomptif héritier à cause de défunte Marie LE VASSEUR, sa mère, Charles de JOUART (signe de JUAT), domestique de monsieur Martineau, conseiller en Parlement, aussi neveu à cause de défunte Marie de NION, sa mère, femme de Gabriel de JOUART, et encore créancier d’icelle défunte LE VASSEUR, Ferry de CLERY, écrivain, neveu et pareillement présomptif héritier de la défunte LE VASSEUR à cause de défunte Noëlle LE VASSEUR, sa mère, femme de feu Ferry de CLERY, Pierre DUREAU, marchand fripier à Paris, et aussi présomptif héritier de la défunte LE VASSEUR à cause de feue Jeanne LE VASSEUR, sa mère, femme de défunt Pierre DUREAU, Louise de CLERY, veuve de feu Nicolas PIEDELOUP, aussi présomptive héritière de la défunte LE VASSEUR à cause de ladite Noëlle LE VASSEUR sa mère, et Françoise EVELOIS (signe EVELOY), fille de défunts Hélène de CLERY et de Jacques EVELOIS, pareillement héritière de la défunte Barthélemye LE VASSEUR à cause de ladite défunte Noëlle LE VASSEUR son aïeule. Et aussi en la présence de Germain Soufflot, substitut du procureur du Roi, pour l’absence des autres présomptifs héritiers de la défunte.

168 et 192 s'il te plait JD, Merci.

A plus tard
Christophe.
bertrandg
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Bonjour,

deux nouveaux inventaires pour aujourd'hui :

[259 - 84] 23 janvier 1648 - Inventaire après le décès de feu Paul RUDAR GATIQUE, un des cent Suisses de la garde du corps du Roi, à la requête de Jeanne HAMEL sa veuve, demeurant à Paris, rue d'Argenteuil, sur la butte Saint-Honoré, paroisse Saint-Roch, en la maison où est pour enseigne la ville de Perpignan. En la présence de Maître Noël ODEAU, bourgeois de Paris, demeurant hors et proche la porte Saint-Honoré, paroisse Saint-Roch, à cause de Jeanne PICARD, sa femme et se portant fort de Etienne PICARD, demeurant en la ville d'Auxerre (89000), lesdits Jeanne et Etienne PICARD, frère et sœur, cousins germains du défunt.
(vue 87) 1648 - procuration par Etienne PICARD, maître joueur d'instruments chez le Roi demeurant en la ville d'Auxerre.

Oubli de "sa veuve" corrigé, merci Christophe

[259 - 92] 3 février 1648 - Inventaire après le décès de défunte honnête femme Anne CRAMOISY, veuve de feu honnête homme André COSSART, marchand drapier, bourgeois de Paris. A la requête de noble homme Antoine THEVENIN, conseiller du Roi, contrôleur général des rentes des gabelles demeurant à Paris rue du Murier, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, exécuteur testamentaire de la défunte. Encore à la requête et présence de demoiselle Denise THEVENIN, veuve de feu François de VEZONS, écuyer, sieur de Danoux, capitaine entretenu pour le service du Roi, demeurant à Paris sur le quai de la Tournelle, paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet, Maître Jean THEVENIN, bourgeois de Paris, y demeurant rue Neuve Sainte-Catherine, paroisse Saint-Paul, Claude CRAMOISY, bourgeois de Paris, demeurant rue Transnonain, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, Jean ROUSSEL, maître joueur d'instruments à Paris en ladite rue Transnonain, Denise CRAMOISY, sa femme, Claude LEFEBVRE, marchand pelletier à Paris, demeurant rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur, Anne CRAMOISY, sa femme, tous lesdits Antoine, Denise et Jean THEVENIN, frères et sœur, lesdits Claude, Denise et Anne CRAMOISY aussi frère et sœurs, présomptifs héritiers avec Catherine CRAMOISY, sœur desdits CRAMOISY, felle de Jean ESPINART, chacun pour un septième de la défunte, leur tante.
(vue 98) cote 1 : 1643 et 1647 - deux obligations au profit de la défunte par Jean ESPINARD, marchand à Laval.
cote 3 : 1637 - obligation au profit de la défunte par Claude CRAMOISY, domestique de Monseigneur le cardinal de Villette.
(vue 103) cote 16 : 1619 - contrat de mariage de Jean ESPINART et Catherine CRAMOISY reçu Saulnier et Charlet notaires.
(vue 104) cote 17 : 1634 - contrat de mariage de Jean ROUSSEL et Denise CRAMOISY, reçu Le Boucher et Le Vasseur notaires.
(vue 105) cote 19 : 1645 - contrat de mariage de Claude LEFEBVRE et Anne CRAMOISY, reçu Cartier et Le Vasseur notaires.

Bonne journée.

Bertrand
Dernière modification par bertrandg le 10 juin 2020, 20:57, modifié 2 fois.
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Bonsoir Bertrand,

Il est préférable de mentionner le lien (lorsqu'il est donné, bien sûr) entre le requérant et le défunt, sans quoi le doute est permis.
Jeanne HAMEL, sa veuve [...].

Intro spéciale pour JD ;)

Nous avons à déplorer le décès de Marie BENOIST et Marie LABITTE :

[259–168] Le 30 décembre 1648 – Inventaire après le décès survenu le 22 décembre 1648, de Marie BENOIST, veuve de honorable homme Jean LENOIR, marchand (de toiles) bourgeois de Paris. A la requête de noble homme Simon BENOIST, conseiller du Roi, trésorier général des domaines de France, demeurant à Paris, Ile Notre-Dame, sur le quai de Bourbon, paroisse Saint-Louis, au nom et comme tuteur et curateur de Madeleine, âgée de 14 ans à 15 ans, Marie, âgée de 10 ans, Elisabeth, âgée de 8 ans, et Anne LENOIR, âgée de 7 ans, filles mineures des défunts. Et aussi à la requête et présence de Simon LENOIR, fils des défunts, émancipé d’âge sous l’autorité de honorable homme Frémin LENOIR, bourgeois de Paris, son aïeul et curateur, en en la présence dudit Frémin LENOIR comme subrogé tuteur desdites mineures. Les biens étant en la maison où elle demeurait, sise à Paris, rue Saint-Denis, où pend pour enseigne la Fleur de Lys, où elle est décédée, montrés par honorable femme Françoise BENOIST, veuve de honorable homme Crépin LE NOIR, marchand bourgeois de Paris, demeurant en ladite maison de la Fleur de Lys avec laquelle défunte (sa sœur, vue 182), elle était associée.
(vue 191) cote 35 : 1641 – Inventaire après le décès de Jean LE NOIR, à la requête de ladite Marie BENOIST.

[259–192] Le 7 mai 1649 – Inventaire après le décès de Marie LABITTE, arrivé le 22 novembre 1648. A la requête de son mari, honorable homme Simon LEFEBVRE, maître charron, bourgeois de Paris, y demeurant rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul, tant en son nom que comme tuteur élu le 6 mai 1649, de Nicole, âgée de 18 ans, Pierre, âgé de 14 ans, Noël, âgé de 8 ans ou environ, Jean, âgé de 7 ans, et Gabriel LEFEBVRE, âgé de 3 ans, leurs enfants mineurs. Et en la présence de David LABITTE, maître paussier (pâtissier ?), demeurant hors le porte Saint-Antoine, oncle maternel et subrogé tuteur desdits mineurs.

A noter que le jour du décès de Marie BENOIST, étaient signé à Paris les « Lettres Patentes portant relief d’adresse au Parlement de Paris, pour enregistrer les Edits des mois de Novembre & Décembre 1634, par lesquels les offices de Commis à l’Audience des Chancelleries, &c. ont été créez. Paris 22 décembre 1648. »

Et le jour du décès de Marie LABITTE, naissait Pierre-Antoine PATEL.

C’est toujours bon à savoir ! :lol:
(ça ne sert à rien, mais ça me fait rire)

Bonne soirée et à demain pour de nouvelles aventures.

Christophe.
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cdemaz a écrit : 10 juin 2020, 20:29 Et le jour du décès de Marie LABITTE, naissait Pierre-Antoine PATEL.
Je cherche la contrepèterie... :D

Rien de très croustillant ici (à part peut-être le pain du boulanger, je ne sais pas trop de quoi il avait l'air à l'époque ?) :

[259 - 156] 29 octobre 1648 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean ESVE, maître boulanger, à la requête de sa veuve Denise CARDÉ, demeurant rue des Petits-Champs, paroisse Saint-Eustache, tant en son nom, comme femme séparée quant aux biens d’avec ledit défunt, que comme tutrice de leurs enfants mineurs Marie ESVE, âgée de 10 ans, et Élisabeth ESVE, âgée de 7 ans ou environ, et en la présence de Gilles CARDÉ le jeune, marchand de vins à Paris, oncle maternel et subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 158) cote 1 : 1636 - contrat de mariage entre lesdits Jean ESVE et Denise CARDÉ ; Gilles CARDÉ et Denise ROBINEAU ses père et mère.

[259 - 160] 1 décembre 1648 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 3 novembre 1648, de feu noble homme Antoine BOTHEREAU, conseiller et secrétaire du Roi, maison et couronne de France et de ses finances, à la requête de sa veuve damoiselle Jeanne DE RAINCY, demeurant rue de la Harpe, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme tutrice de leurs enfants mineurs Charlotte BOTHEREAU, âgée de 20 mois, et Antoine BOTHEREAU, âgé de 7 semaines, et en la présence de noble homme Charles DE RAINCY, aussi conseiller et secrétaire du Roi, maison et couronne de France et de ses finances, demeurant à Paris, rue Hautefeuille, paroisse Saint-André-des-Arts, aïeul maternel desdits mineurs et leur tuteur, conjointement avec ladite veuve sa fille, jusqu’à ce que celle-ci ait atteint l’âge de majorité, et aussi en la présence de Me Philippe BOTHEREAU, huissier en la cour de Parlement, demeurant à Paris, rue Galande, susdite paroisse Saint-Séverin, aïeul paternel et subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 165) cote 1 : 1646 - contrat de mariage entre lesdits Antoine BOTHEREAU et Jeanne DE RAINCY.

Bonne soirée à tous.
JD
cdemaz
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cdemaz a écrit : 10 juin 2020, 20:29
Bonne soirée et à demain pour de nouvelles aventures.

Christophe.
Bonjour à toutes et tous, :)

Le lendemain d’avant-hier, s’avère en fait être devenu la veille de demain ! :?
Je vais me rattraper, promis.

Ma paire du matin :

[259–225] Le 30 octobre 1649 – Inventaire après le décès de Claude PILLART, veuve de Adrien MULLOT, ouvrier en bas de soie. A la requête de maître Pierre DU FRESNE, procureur au Châtelet de Paris, y demeurant rue du Coq, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, au nom et comme exécuteur du testament de la défunte. Et en la présence de Guy PILLART, bourgeois de Paris, y demeurant au cul de sac de l’Hôtel de Soissons, paroisse Saint-Eustache, et de Marie PILLART, femme de Pierre POUCHET, manœuvre demeurant à Lenainville, paroisse de Paray-le-Moineau (Paray-Douaville, 78660) en Beauce. Lesdits Guy et Marie PILLART, héritiers de la défunte leur sœur. Et encore en la présence de Elisabeth POUCHET, nièce et légataire universelle d’icelle défunte. Les biens étant en une petite chambre du corps de logis de derrière de la maison où elle demeurait , sise rue Neuve-Saint-Honoré, paroisse Saint-Roch.
(vue 227) cote 1 : Testament.
(vue 227) cote 2 : 1611 – Contrat de mariage Adrien MULLOT x Claude PILLART, passé à Bréthencourt (Saint-Martin-de-Bréthencourt, 78660).

[259–229] Le 8 novembre 1649 – Inventaire après le décès survenu le 28 juillet 1649, de dame Geneviève MATHEAU, veuve de maître Jean CHAPELLAIN, notaire au Châtelet de Paris. A la requête de son fils aîné, noble homme Jean CHAPELLAIN, conseiller du Roi, commis en chef au greffe du conseil privé de Sa Majesté, demeurant à Paris, rue de l’Arbre Sec, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte, et encore comme tuteur de Claude CHAPELLAIN, âgé de 16 ans ou environ, fils des défunts ses père et mère. Et aussi à la requête et présence de noble homme Nicolas HERBIN, huissier ordinaire du Roi en ses conseils, et damoiselle Geneviève CHAPELLAIN sa femme, demeurant à Paris, rue du Four, paroisse Saint-Eustache ; maître Charles DUPUIS, notaire audit Châtelet, dame Andrée CHAPELLAIN sa femme, demeurant en ladite rue de l’Arbre Sec ; maîtres François et Louis CHAPELLAIN, émancipés sous l’autorité dudit Jean CHAPELLAIN, leur frère et curateur, et encore ledit HERBIN comme subrogé tuteur dudit mineur. Tous lesdits CHAPELLAIN, frères et sœurs, habiles à se dire, porter et nommer héritiers de la défunte leur mère. Les biens étant en la maison où elle demeurait, sise en ladite rue de l’Arbre Sec en laquelle elle est décédée.
(vue 242) cote 2 : 1641 – Inventaire après le décès de Jean CHAPELLAIN, à la requête de ladite Geneviève MATHEAU sa veuve.
(vue 242) cote 3 : Contrat de mariage Jean CHAPELLAIN x Geneviève MATHEAU.
(vue 244) cote 7 : 1631 – Charlotte COINTEREL, veuve en dernières noces de Pasquier PETIT, et auparavant de Simon MATHEAU, son second mari, père de ladite Geneviève MATHEAU.

263 et 276 STP JD, merci.
Christophe.
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