Bonsoir les amis,
Ce soir je vous propose :
[227–416] Le 16 janvier 1597 – Inventaire après le décès de honorable homme Guillaume COULOMP, maître apothicaire et épicier à Paris, décédé de la maladie contagieuse le 31 octobre 1596. A la requête de honorable femme Catherine TARTERON, sa veuve, comme exécutrice du testament du défunt, et encore comme tutrice de Isabelle, âgée de 8 ans passés, Jeanne, âgée de 5 ans, Guillaume, âgé de 3 ans, et Jacques COULOMP, âgé de 15 mois ou environ, leurs enfants mineurs. Et en la présence de honorable homme maître René COULOMP, procureur en la chambre des comptes à Paris, frère dudit défunt et oncle et subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant tant en la maison où le défunt est décédé, et où il était demeurant, sise rue Barre-du-Bec, paroisse Saint-Merry, que en une autre maison sise rue de la Verrerie, faisant le coin de la rue Barre-du-Bec, où ladite veuve se serait retirée avec la veuve TARTERON sa mère ensemble ses enfants, en laquelle icelle veuve COULOMP aurait fait transporter des biens. Et en une maison sise au village de Courbevoie, près le port de Neuilly, qui appartenait au défunt.
Vue 428 : 1586 – Contrat de mariage Guillaume COULOMP x Catherine TARTERON. Etienne TARTERON et Catherine BETREY ( ?) sa femme, père et mère de la future.
Vue 429 : 1588 – Isabelle LE MOYNE veuve de feu Jean COULOMP, mère dudit défunt Guillaume COULOMP.
1595 – Maître Pierre ROZE, procureur en la chambre des comptes à Paris, et Jacqueline COULOMP sa femme.
1594 – Partage après les décès de feus honorables personnes Jean COULOMP et Isabelle LE MOYNE sa femme. Maison et vignes à Courbevoie.
1594 – René COULOMP, procureur en la chambre des comptes à Paris, tuteur de Claude PEZOU, sa nièce, fille mineure de Barthélemy PEZOU et de feue Rachel COULOMP, jadis sa femme.
Vue 432 : 1594 – Compte rendu par ledit Guillaume COULOMP et maître René COULOMP, procureur en la chambre des comptes à Paris, son frère, exécuteurs du testament de Isabelle LE MOYNE leur mère.
Vue 432 : Maître Guillaume TARTERON, receveur des aides et tailles de Melun, beau-frère dudit Guillaume COULOMP.
[227–434] Le mardi 14 janvier 1597 – Inventaire après le décès de Philippe de MAILLY. A la requête de son mari, Jean LABESSE, facteur de marchands demeurant à Paris rue et paroisse Saint-Sauveur …, en son nom, et de Christophe DUBOST, maître doreur sur fer, demeurant rue de la Fromagerie, paroisse Saint-Eustache, au nom et comme exécuteur du testament de la défunte. Les biens étant tant en une chambre où la défunte était demeurant, des appartenances d’une maison sise à Paris, rue de la Tannerie où est demeurant Guillaume LELEU, maître batteur d’or, que autres endroits.
[227–454] Le mardi 24 septembre 1596 – Inventaire après le décès de honorable femme Marguerite HALLÉ, veuve de Roch de LA PERSONNE( ?), clerc au greffe criminel du Châtelet de Paris. A la requête de honorable homme Pierre HALLÉ, bourgeois de Paris demeurant rue Guérin-Boisseau, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, et de Claude HALLÉ, usant et jouissant de ses droits demeurant rue du Crucifix et paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, fils de feu Claude HALLÉ, vivant bourgeois de Saint-Illiers (78980 ?) en France, et de Nicole POISLE ( ?) jadis sa femme. Lesdits Pierre et Claude HALLÉ, habiles à se dire, porter et nommer héritiers de la défunte, sœur dudit Pierre HALLÉ et tante dudit Claude HALLÉ. Les biens meubles étant en une chambre où la défunte était demeurant, des appartenances d’une maison sise à Paris, à Petit-Pont, appartenant au sieur Côme CARREL, et les papiers en la possession de noble homme maître Abel CRAMOISY, conseiller notaire et secrétaire du Roi maison et couronne de France, auquel icelle veuve les avait baillés à garder.
Ce n’est pas fini ! Il restait les :
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461
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474
Que voici :
[227–457] Le jeudi 18 juillet 1596 – Inventaire après le décès de noble homme maître François GARRAULT, conseiller du Roi et trésorier général de France au bureau des finances établi à Châlons. A la requête de noble homme maître Jérôme GARRAULT, conseiller du Roi et trésorier général de l’extraordinaire des guerres, légataire universel du défunt son frère. Les biens étant en la maison où ledit sieur GARRAULT est demeurant, sise rue de la Verrerie, paroisse Saint-Merry. Et les livres il a déclaré avoir été donné et laissé par le défunt, à savoir les livres de la Sainte-Ecriture à frère Jérôme VINYES, religieux profès en l’abbaye Saint-Florent, et le reste à Antoine GARRAULT, son neveu, écolier étudiant au collège de Boucourt, fils dudit Jérôme GARRAULT.
[227–461] Le 10 avril 1596 – Inventaire après le décès de Pierre FORGET, écuyer, sieur d’Anisay et des Essarts-en-Beauce (41800). A la requête de sa veuve, damoiselle Jacquette LEPIN, au nom et comme tutrice et curatrice de Pierre FORGET, leur fils mineur âgé de 13 ans ou environ, habile à se porter héritier du défunt son père. La veuve renonce à la communauté. Et en la présence de Claude de PLAYS, écuyer sieur de Rosnay et dudit Anisay, oncle à cause de damoiselle Marie FORGET sa femme, subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en une chambre garnie que tient de présent ladite damoiselle, des appartenances d’une maison sise ès faubourgs Saint-Germain-des-Prés, où pend pour enseigne
le Cœur Volant.
La famille est ruinée, il ne reste que quelques effets, le reste a été vendu pour rembourser les créanciers.
[227–463] Le 14 mars 1596 – Inventaire après le décès de Marie WILLOT, survenu le 2 mars 1596. A la requête de honorables personnes Charles BACHELIER, maître ceinturier à Paris, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte sa femme, et aussi à la requête de Jean BEAUMONT, maître maréchal demeurant ès faubourgs Saint-Germain-des-Prés, et Jeanne WILLOT sa femme à cause d’elle, sœur et habile à se dire, porter et nommer héritière de la défunte. Les biens étant en une maison en laquelle ledit BACHELIER est demeurant, sise sur le pont aux Meuniers, paroisse Saint-Germain-de-l’Auxerrois, en laquelle la défunte est décédée.
Vue 472 : Testament de la défunte.
Vue 472 : 1574 – Contrat de mariage BACHELIER x WILLOT.
Vue 472 : Don mutuel.
[227–474] Le 22 janvier 1596 – Inventaire après le décès de Edmé BRU, marchand tisserand( ?) à Paris. A la requête de Noëlle BOURDELOT (BURDELLOT), sa veuve pour la conservation de son douaire et conventions matrimoniales après qu’elle a déclaré avoir renoncé à la communauté de biens. Et en la présence de Pierre BRU, manouvrier demeurant à Bazoches (77118) près Bray-sur-Seine (77480), tant en son nom que comme procureur de Jacques GADON, son beau-frère, tisserand demeurant audit Bazoches en son nom à cause de Marie BRU sa femme, aussi sœur dudit défunt. Les biens étant en une maison sise rue du Temple, où pend pour enseigne
le Rigault, où ladite veuve est à présent demeurant.
Vue 476 : 1593 – Contrat de mariage Edmé BRU x Noëlle BOURDELOT, passé par-devant Pierre Richebois, notaire royal à Sens.
Voilà, j'arrête pour aujourd'hui !
On se retrouve chez un autre notaire :
https://www.geneanet.org/forum/viewtopic.php?t=602423
A bientôt
Christophe