Aide à l'indexation des inventaires de Me Jacques Ricordeau (1639 à 1663)

[dumultien]

PS. Ce ne serait pas un nouvel acte vue 68?

Oui, et tu as donc droit à un supplément gratuit ! 

[dumultien]

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=30428
Inventaires de Jacques Ricordeau - AN ET-CIX-222 (1645-1648)

2 (répertoire)
68 P
83 CH
89 CH
93 JF
125 JF
132 P
138 P
153 JF
163 JF
166 CH
174 CH
182 CH
193 CH
201 JF
217 JF
220 P
228 P
262 JF
264 JF
272 P
279 P
295
316
321
342
359
369
378
386
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402
406
413
431
439
471
507
548
554
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580
601
604
617
624
637
658
666

[cdemaz]

Bonsoir à tous les deux, 

Voici mes devoirs :

[222-83] Le 28 août 1645 – Inventaire après le décès de honorable homme Hervé du MESNIL, marchand libraire, bourgeois de Paris, y demeurant rue des Sept-Voies, proche Saint-Hilaire, où il serait décédé. A la requête de sa veuve, honorable femme Geneviève JOLLY, en son nom. Comme aussi à la requête de honorable homme Charles du MESNIL, aussi marchand libraire, bourgeois de Paris, seul enfant dudit défunt et de défunte Antoinette BAILLY, jadis sa première femme, présomptif héritier dudit défunt son père et seul héritier d’icelle BAILLY, sa mère. En la présence d’honorable homme Nicolas LANGLOIS, marchand orfèvre, bourgeois de Paris, y demeurant rue de Bretagne marais du Temple, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, comme subrogé tuteur des enfants mineurs de défunt Pierre JOLLY et de Jeanne LANGLOIS, jadis sa femme, et desquels mineurs ledit défunt DUMESNIL était tuteur, assisté de Me Claude CROIZETTE, procureur audit Châtelet son procureur, et ladite Geneviève JOLLY, aussi assistée de Me Pierre LESTOR, procureur audit Châtelet, son procureur.
Vue 87 : mention de l’inventaire après le décès de Antoinette BAILLY, du 8 octobre 1624, fait à la requête de défunt Hervé DUMESNIL, tant en son nom que comme tuteur de Henri et Charles DUMESNIL, enfants mineurs de lui et de la défunte, jadis sa femme en premières noces.
Vue 87 : mention du contrat de mariage entre Hervé DUMESNIL et Geneviève JOLLY, du 22 juin 1625.

[222-89] Le 15 janvier 1646 – Inventaire après le décès de dame Gabrielle LAMY, veuve de messire Jean-Baptiste de LA CHASTRE, chevalier seigneur de Breuilbault. A la requête de dame Françoise de LA CHASTRE, épouse de messire Henry de LA GRANGE, chevalier seigneur marquis d’Arquyen (=d’Arquien, qui signe de LA GRANGE ARQUYAN MONTIGNY), séparée de lui quant aux biens, fille unique et seule héritière de la défunte sa mère, demeurant en l’hôtel de Nevers, paroisse Saint-André-des-Arts. En la présence dudit seigneur marquis d’Arquien.

Je réserve les 166 et 174.

Bonne nuit.
Christophe.

[dumultien]

Bonsoir Christophe,

Les compléments à ta première analyse, l'autre étant parfaite.

[222-83] Et desquels mineurs ledit défunt DUMESNIL était tuteur. – Son procureur : oui. – Et ladite Geneviève JOLLY aussi assistée de Me Pierre LESTOR.

Bonne nuit. 

[dumultien]

Bonjour à tous,

La suite du jour :

[222-93] 9 février 1646 – Inventaire dressé après le décès de dame Aimée DOUBLET, à la requête de monsieur Me Antoine LE FERON, son mari, conseiller du Roi en sa Cour des aides à Paris, y demeurant rue Hautefeuille, paroisse Saint-André-des-Arts, tant en son nom que comme ayant la garde noble et tutelle d’Antoine LE FERON, âgé de 6 ans et demi , et de Marie LE FERON, âgée de 4 ans ou environ, enfants mineurs de la défunte et de lui. En la présence du sieur Michel CHOART, bourgeois de Paris, y demeurant rue Troussevache, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, subrogé tuteur desdits mineurs.
Bibliothèque (vues 107-116).
Titres et papiers (vues 117-123). Jacques DOUBLET, oncle de la défunte (vue 119). – Dame Anne de CREIL, veuve d’Antoine DOUBLET, père et mère de la défunte (vue 119). – Honorable homme Claude DOUBLET (vue 119).

[222-125] 26 février 1646 – Inventaire dressé après le décès de dame Anne MAIGNAN, veuve de Me Claude VEILLART (alias VEILLARD), vivant avocat en Parlement, et récolement de l’inventaire après décès, dressé le 9 juin 1644 par Mes Huart et Ricordeau, dudit Me Claude VEILLART, à la requête de Me Hugues VEILLART, procureur en Parlement, demeurant à Paris, rue de la Bûcherie, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, de Pierre VEILLART, écuyer, sieur des Fontaines, gentilhomme servant ordinaire du Roi et homme d’armes de la compagnie de Sa Majesté, de Me Charles VEILLART, huissier du Roi en sa Cour de Parlement, de Me Jean MOLU (alias MOLLU), procureur en Parlement, et dame Marguerite VEILLART, sa femme, de Me Jacques NAULOT, procureur au Châtelet de Paris, et dame Jeanne VEILLART, sa femme, et de noble homme Gabriel TRIVOIRE (qui signe TRIVOYRE), docteur en droit et historiographe du Roi, demeurant rue des Arcis, paroisse Saint-Merri, au nom et comme tuteur de Marguerite VEILLART, fille mineure des défunts Me Claude VEILLART, vivant avocat en Parlement, et dame Marguerite LECLERC, jadis sa femme, ladite mineure à ce présente et émancipée d’âge, procédant sous l’autorité de Me Jacques DESCHAMPS, procureur en la Cour de Parlement, son curateur. Lesdits Hugues, Pierre, Charles, Marguerite et Jeanne VEILLART, frères et sœurs, et ladite mineure par représentation de son père, présomptifs héritiers desdits défunts Me Claude VEILLART et Anne MAIGNAN, jadis sa femme, leurs père et mère et aïeuls de ladite mineure.
Titres et papiers (vues 128-131).

Bonne journée. 

[pganier]

Bonjour,

Voilà pour  aujourd'hui:

[222-68] 6 mai 1645 - Inventaire après le décès de Thierrye ROUSSIN (ou RONSSIN), à la requête de Me Louis de RIANCOURT, huissier du Roi en sa cour de parlement à Paris, y demeurant rue Boutebrie, paroisse Saint-Séverin, lequel a dit et déclaré que ladite défunte Thierrye ROUSSIN, vivante fille majeure usant et jouissant de ses droits, servante demeurant en la maison de maître Nicolas BERRUYER, procureur en ladite cour, lui aurait de son vivant dit qu'elle avait fait un testament dont il était exécuteur, et depuis son décès Elisabeth LAVANNE, aussi servante dudit BERRUYER, lui aurait aussi dit qu'il était exécuteur dudit testament. C'est pourquoi ledit RIANCOURT pour l'absence d'héritier présomptif aurait requis Me Balthazar Bastard, conseiller du Roi et substitut de monsieur le procureur au Châtelet de Paris, et les notaires garde-notes du Roi notre sire au Châtelet soussignés de vouloir se transporter en la maison dudit BERRUYER.

[222-132] 20 mars 1646 - Inventaire après le décès de Nicolas POISSON, vivant bourgeois de Paris, à la requête de Marie AUBLE (qui signe Marie OBLE), demeurant rue de la Savaterie, où est pour enseigne Les trois Poissons, tant en son nom que comme tutrice et Marie POISSON âgée de 21 à 22 ans, Marguerite POISSON âgée de 18 ans, Anne POISSON âgée de 11 ans, et de Edmée POISSON âgée de 7 ans ou environ, enfants mineures d'ans dudit défunt et d'elle, en la présence de François CHAMOYS, marchand verrier à Paris, demeurant place Notre-Dame, subrogé tuteur desdites mineures et leur beau-frère à cause de Marguerite POISSON sa femme, tous lesdits POISSON habiles à se dire et porter héritières dudit défunt leur père.

[222-138] 16 avril 1646 - Inventaire après le décès d'Anne de CREIL, à la requête de monsieur maître Antoine LE FERON, conseiller du Roi en sa cour des aides à Paris, demeurant rue Hautefeuille, paroisse Saint-André-des-Arts, au nom et comme tuteur d'Antoine LE FERON et Marie LE FERON, enfants mineurs dudit sieur et de défunte dame Edmée (alias Aimée DOUBLET jadis sa femme, et ayant la garde noble desdits mineurs, ceux-ci héritiers de ladite défunte dame Anne de CREIL leur aïeule maternelle, au jour de son décès veuve de feu le sieur Antoine DOUBLET, vivant bourgeois de Paris, en la présence de sieur Michel CHOART, bourgeois de Paris, demeurant rue Troussevache, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, subrogé tuteur desdits mineurs.

[dumultien]

Bonjour Pascal,

Les compléments :

[222-68] La défunte était Thierrye ROUSSIN (ou RONSSIN). – Me Nicolas BERRUYER. – Lui aurait aussi dit qu’il était exécuteur. – Me Balthazar Bassetart.

[222-132] Marguerite POISSON.

[222-138] Défunte Edmée (alias Aimée) DOUBLET. – Veuve de feu le sieur Antoine DOUBLET. – Rue Troussevache : oui. – Cet inventaire est à relier au [222-93].

Bonne journée. 

[pganier]

[222-68]Lui aurait aussi dit qu’il était exécuteur

Je ne comprends pas bien la phrase, mais bon!

Merci Jean François!

[cdemaz]

Bonjour JF et Pascal, 

Mes devoirs :

[222-166] Le 6 juin 1646 – Inventaire après le décès de Pierre ROUGY, bourgeois et courtier juré de la ville de Bordeaux. A la requête de maître Simon de LA BORDE, bourgeois de la ville de Bordeaux, y demeurant rue Saint-James, paroisse Saint-Eloy, au nom et comme procureur de Marguerite OLLIVIER, veuve du défunt. Ledit de LA BORDE, de présent à Paris, logé rue Neuve Saint-Louis, proche le palais, en la maison où est pour enseigne le Sauvage. En la présence de noble homme Balthazard Bastard, avocat en parlement, substitut du procureur du Roi. Les biens étant en la maison de Anne DESPERSIN (ou DESPERCIN), veuve de Maurice GIGOT, maître boulanger à Paris, où le défunt était logé, et où il serait décédé, sise à Paris, rue Gallande, paroisse Saint-Etienne-du-Mont.

[222-174] Le 27 juin 1646 – Inventaire après le décès de Blaise PATOUILLET, juré porteur de grains de l’hôtel de ville de Paris. A la requête de sa veuve, Jeanne VERON, demeurant rue des Barres, paroisse Saint-Paul, tant en son nom, que comme tutrice de Blaise, âgé de 19 ans, et de Jacqueline PATOUILLET, âgée de 17 ans, leurs enfants mineurs. En la présence de Pierre BERGER, maître charron carrossier à Paris, y demeurant à l’arche Beaufils au port Saint-Paul, et de Françoise PATOUILLET sa femme, et encore ledit BERGER, comme subrogé tuteur desdits mineurs. Françoise, Blaise et Jacqueline PATOUILLET, frère et sœurs, enfants et seuls héritiers du défunt.
Vue 178 : mention du contrat de mariage PATOUILLET VERON du 29 décembre 1616. Appert Jeanne TOUZÉ, alors veuve de Pierre VERON.
Vue 179 : mention du contrat de mariage BERGER – Françoise PATOUILLET du 24 janvier 1644.

Prise de réservation pour les 182 et 193.

Bonne journée à tous.
Christophe.

[dumultien]

Bonjour Christophe,

Les compléments :

[222-166] Anne DESPERSIN (alias DESPERCIN). – Le sieur GIGOT, bourgeois et maître chirurgien de la ville de Paris (vue 170), ne semble pas être la même personne que Maurice GIGOT, maître boulanger à Paris.

[222-174]  A l’Arche Beaufils.

Bonne journée. 

[dumultien]

Bonjour à tous,

Et maintenant mes propres analyses :

[222-153] 16 avril 1646 – Inventaire dressé après le décès, survenu à Paris au collège de Lisieux, de Me Marin FAUCILLIERE, vivant prêtre du diocèse de Lisieux, à la requête des vénérables, principal, procureur et boursiers dudit collège de Lisieux fondé en l’Université de Paris, comparant par Me Pierre LE CERCELIER, pour leur principal et boursier dudit collège, créanciers du défunt. En la présence de Me Balthazar Bassetard, conseiller du Roi et substitut du procureur du Roi au Châtelet de Paris, appelé pour l’absence des présomptifs héritiers du défunt, et de vénérable et discrète personne Me Jacques DESPERIERS, bachelier en théologie et de la société de Sorbonne, principal dudit collège de Lisieux, y demeurant.
Bibliothèque (vues 154-155).
Titres et papiers (vues 155-162).
Françoise FAUCILLIERE, fille de défunt Marin FAUCILLIERE et de Marguerite BEZART, ledit Marin FAUCILLIERE frère dudit défunt Me Marin FAUCILLIERE, tous deux enfants de Simon FAUCILLIERE et de Fabienne HERAULT, de la paroisse de Giverville (27560) (vues 155-156 et 162). – Marin FAUCILLIERE donataire universel et entre vifs dudit défunt Me Marin FAUCILLIERE, son frère (vue 157).

[222-163] 28 avril 1646 – Inventaire dressé après le décès de Michel TASSET, vivant maître boulanger à Paris, y demeurant au faubourg Saint-Jacques, à la requête d’honorable homme Germain PESCHER, marchand épicier, bourgeois de Paris, y demeurant audit faubourg Saint-Jacques, en la grande rue, paroisse Saint-Jacques-Saint-Philippe, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernières volontés du défunt, ledit testament passé par-devant Guillard et Ricordeau le 3 mars 1646, et encore comme l’un des marguilliers de l’œuvre et fabrique de l’église paroissiale Saint-Jacques-Saint-Philippe. En la présence de Catherine LA MONSTRE, veuve du défunt et sa créancière pour ses dot, douaire et conventions matrimoniales. Aussi en la présence d’Aurèle CHARNISE et Marguerite TASSET, sa femme, sœur et seule présomptive héritière du défunt. Et encore en la présence de Me Etienne LOMBARD (qui signe LOMBAR), docteur en théologie, prêtre habitué en ladite église, et de Nicolas LA MONSTRE et Marguerite BERNARD, sa femme, légataires du défunt.

Bonne journée. 

[pganier]

Bonsoir,

Voilà ces deux là (Jean-Paul, il y a du 37 dans le second):

[222-220] 5 septembre 1646 - Inventaire après le décès de Louis JULLIEN, vivant marchand libraire bourgeois de Paris, à la requête de Marie de VERDUN, sa veuve, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom comme créancière de la succession dudit défunt que comme tutrice de Charles, Marie et Thérèse JULLIEN, enfants mineurs dudit défunt et d'elle, et en la présence d'Etienne JULLIEN, marchand de chevaux à Paris, demeurant au faubourg Saint-Victor, rue Neuve des Boulangers, paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet, au nom et comme subrogé tuteur desdits mineurs.
Vue 224: Nicolas de VARENNES, bourgeois de Paris, et Marguerite LE ROY, sa femme auparavant veuve de Nicolas de VERDUN, marchand orfèvre.

[222-228] 5 octobre 1646 - Inventaire après le décès d'Innocent METIVIER (ou MESTIVIER), conseiller du Roi, prévôt général des bandes françaises et du régiment des gardes de Sa Majesté, à la requête de damoiselle Nicole BAUDRY, sa veuve, demeurant au cloître Saint-Marcel lès Paris, paroisse Saint-Martin, assistée de Me Louis TURPIN son procureur; en la présence de maître Jean METIVIER, procureur au grand conseil, de maître Jean FOURNIER, procureur en la cour de parlement, de maître Claude LE CLERC, procureur au Châtelet de Paris, au nom et comme procureur comme il a dit de noble homme Pierre METIVIER, conseiller et médecin du Roi en ses bandes françaises et dudit régiment des gardes, de maître Léon LE CLERC, aussi procureur audit Châtelet, aussi au nom et comme procureur comme il a dit de dame Damienne AUGERON, veuve de feu maître Jean METIVIER, vivant conseiller du Roi élu en l'élection de Tours, ladite Damienne AUGERON, seule habile à se succéder audit défunt sieur Innocent METIVIER son fils, lesdits sieurs Jean, Pierre METIVIER et FOURNIER, frères et beau-frère dudit défunt et nommés par lui pour exécuter son testament.

Page 248: François BAUDRY, garde des entrées de vin de cette ville de Paris.
Page 250: René BAUDRY, écuyer de cuisine du Roi. Page 253: Ecuyer de la bouche du Roi. Page 252: Pierre BAUDRY.
Page 252: Monsieur AUGERON, procureur au siège présidial de Tours.
Page 257: François BAUDRY.

Bonne soirée

[jeanpaumelinon]

Merci Pascal,
Effectivement METIVIER dans la région d'Esvres sur Indre  et BAUDRY dans la région de Cravant les Coteaux, sont en plus des familles qui existent toujours Les seconds sont des vignerons qui élèvent un merveilleux Chinon

PS dans ta première analyse, je me demande si la paroisse n'est pas plutôt Saint Nicolas du Chardonnet ?

[dumultien]

Bonsoir à tous,

Les compléments :

[222-220] Marie de VERDUN. – Saint-Nicolas-du-Chardonnet, bien vu Jean Paul ! – Nicolas de VERDUN.

[222-228] Damoiselle Nicole BAUDRY. – C’est la veuve Nicole BAUDRY qui est assistée de Me (et non messire) Louis TURPIN, son procureur. – Garde des entrées de vin de cette ville de Paris.

Bonne soirée. 

[cdemaz]

[222-166] Anne DESPEREIN.

Bonjour JD,
merci pour tout tes compléments. Dans le 166, c'est la signature (voir image) qui m'a fait douter. Que lis-tu dans cette signature.
Dans le texte ne serait-ce pas Desperçin ?
Merci d'avance.
Christophe.