Aide à l'indexation des inventaires de Me Jean Demas (1651-1656)

[cdemaz]

Bonsoir Pascal,

bouchage de trous :

vivant fermier des aides de l'élection de Joigny
cabinet qui est en l'une des chambres

Amicalement
Christophe

[pganier]

Merci Christophe! Sinon il y en avait d'autres

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29080
Inventaires de Jean Demas - AN ET-XXI-210 (1651-1652)

266 JD
287 JD
294 JD
419 Christophe
474 JD
536 Pascal

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081
inventaires de Jean Demas - AN ET-XXI-211 (1653-1654)

1 Christophe
10 Christophe
77 Pascal
102 Pascal
116 JD
154 JD
176 Christophe
184 Christophe
210 Pascal
216 Pascal
226 JD
237 JD
249 Christophe
262 Christophe
292 Pascal
310 Pascal
374 JD
418 JD
466 Christophe
526 Christophe
542 Pascal
570 Pascal

[cdemaz]

En attendant la suite, ... voici le 419 qui était fastoche  :

[210-419] Le 30 décembre 1652 – Coté 417 – Inventaire après le décès de Guillaume CHAILLOU, vivant bourgeois de Paris, survenu le 18 octobre 1652. A la requête de sa veuve, Agnès VABOYS (alias VABOIS), demeurant rue de la Grande Truanderie, paroisse Saint-Eustache, tant en son nom que comme tutrice d’Elisabeth, âgée de 13 ans, et d’Anne CHAILLOU, âgée de 9 ans, leurs enfants mineurs. Elue par l’avis de parents et amis, homologué au Châtelet de Paris le 19 octobre 1652. Et aussi à la requête et présence du sieur Claude CHAILLOU, marchand bourgeois de Paris demeurant rue Saint-Denis, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, aussi tant en son nom de son chef, que comme subrogé tuteur des mineures ses sœurs. Ledit sieur CHAILLOU et ses sœurs, habiles à se dire, porter et nommer héritiers chacun pour un tiers, du défunt leur père. Les biens étant ès lieux occupés par la requérante, des dépendances d’une maison sise à Paris en ladite rue Grande Truanderie, occupée par le sieur Boilleau, marchand bourgeois de Paris, propriétaire d’icelle, où le défunt serait décédé.
(vue 432 : Contrat de mariage CHAILLOU-VABOIS, passé par-devant Guillaume Janot et Louis Leconte le 25 août 1620. Ladite Agnès VABOYS, alors fille de défunt Pierre VABOYS et d’Anne MARIS )

Bonne soirée
Christophe

[cdemaz]

Bonjour à tous,

je vais m'occuper des 1 et 10 de la liasse 211.

Cordialement.
Christophe.

[pganier]

Bonjour,

Voilà pour le 536:

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29080&page=536
[210-536] 12 septembre 1652 - Cote 410 - Inventaire après le décès de défunte Françoise TRETON, à la requête d'André GOISLARD, son veuf, écuyer sieur de la Gravelle, conseiller du Roi et correcteur en sa chambre des comptes, demeurant à Paris, rue Saint-Martin, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, où la défunte serait décédée le 29 août 1652, tant en son nom que comme tuteur et ayant la garde noble de Marc Anne TRETON âgée de 13 mois et demi, fils mineur d'ans de lui et de la défunte, et en la présence de noble homme messire Marc TRETON, conseiller du Roi et contrôleur des rentes de l'hôtel de cette ville de Paris, demeurant susdite rue et paroisse, aïeul maternel et subrogé tuteur dudit mineur, quant à ses actions, partage, division et confection du présent inventaire, et à la conservation dudit sieur de la Gravelle, de son dit mineur, et de tous autres qu'il appartiendra.

(Page 538: les meubles.)
(Page 545: les pierres et figures de bronze.)
(Page 546: les livres.)
(Page 549: les tableaux.)
(Page 551: les habits du sieur de la Gravelle.)
(Page 552: les habits de la défunte.)
(Page 558: la vaisselle d'argent, bagues et joyaux.)
(Page 560: les titres et papiers.)
(Pages 560-561) En marge du contrat de mariage est écrite la décharge du sieur de la Gravelle tant au profit de dame Marie SEVIN sa mère, à présent femme et épouse en secondes noces de monsieur de MACHAULT, seigneur d’Ermenonville … par le contrat fait entre ladite dame et ledit sieur de La Gravelle son fils, le 13 mars 1651, passé par-devant Ménard et Demas, notaires.
(Page 560) Contrat de mariage GOISLARD x TRETON, le 3 octobre 1650, devant Bruneau et Demas, notaires.
(Page 569) Jacques GOISLARD, frère dudit sieur de la Gravelle, et Jacques GOISLARD, fils de ladite défunte Françoise TRETON.
(Page 575: des tableaux et divers.)
(Page 578) 14 octobre 1652: une autre maison, au village de Briis-sous-Forges (91640), sous Montlhéry (91310). La rue du Paon.
(Page 583) une maison sise au faubourg Saint-Victor, où est pour enseigne le Soleil d'or.
(Page 584) Jacques GOISLARD, époux de Marie SEVIN.
(Page 585) Maison sise à Paris, rue du Paon.
(Page 590: il est question d'une fille et petit-fils. Et suit encore un inventaire.)

Je n'ai pas trouvé Bry, où serait peut-être la rue du Paon (page 580 ligne 5), plutôt qu'à Paris, bien qu'il y en ait (ou eut) aussi...

Si quelqu'un voulait vérifier que je ne serait pas passé à côté de certains papiers, en particulier page 566/567

Merci Olivier, Christophe

[operrusset]

Bonjour Pascal,

En ce qui concerne Bry sous Montlhéry, je pense qu'il s'agit de Briis-sous-Forges (Essonne).

Cordialement

Olivier

[cdemaz]

Bonsoir Pascal,

(Page 560) Contrat de mariage GOISLARD x TRETON, le 3 décembre 1650, devant Bruneau et Devau?, notaires.
Plutôt octobre ? Pour le garde notes, il s'agit de maître Demas le soussigné notaire 
on peut ajouter que ledit sieur GOISLARD est fils de Marie SEVIN :
(pages 560-561) En marge du contrat de mariage est écrite la décharge du sieur de la Gravelle tant au profit de dame Marie SEVIN sa mère, à présent femme et épouse en secondes noces de monsieur de MACHAULT, seigneur d’Ermenonville … par le contrat fait entre ladite dame et ledit sieur de La Gravelle son fils, le 13 mars 1651, passé par-devant Ménard et ledit Demas.


(Page 584) Jacques GOISLARD, époux de Marie SEVIN?.
Oui il s'agit bien de Marie SEVIN, voir :
http://www.geneanet.org/archives/registres/view/19151/168

A Paris la rue du Paon existe : en F - VI (coulé) du plan ci-après :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b5971792j/f1.item.r=guillaume%20delisle%20plan%20paris.zoom

Comme il est question du marquis de Dampierre (vue 581), je confirme qu'il s'agit de Briis-sous-Forges (91640)
http://noel.bouvet.free.fr/Histoire/Textes/07_Notice_historique_sur_Briis.htm

Amicalement
Christophe

[jdp1]

Bonsoir à tous.

Désolé pour le retard. Mais en voici 4 pour le prix de 3 :

266
[210 – 266] 5 août 1652 - Inventaire dressé après le décès, advenu le 15 juillet 1652, de feu Daniel MESTAYER, vivant écuyer, sieur de la Baudinière, valet de chambre ordinaire du Roi, à la requête de sa veuve damoiselle Elizabeth DE LA MORLIERE, demeurant à Paris, rue de Montmorency, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, tant en son nom que comme tutrice de leurs enfants mineurs d'ans Louis MESTAYER, âgé de dix ans ou environ et François MESTAYER, âgé de trois ans et demi ou environ, et en la présence de sieur Jean MATHIEU, graveur en taille douce, bourgeois de Paris, demeurant rue Galande, paroisse Saint-Séverin, oncle paternel à cause de défunte Marguerite MESTAIER sa femme, et subrogé tuteur desdits mineurs quant à leurs actions, partage, divisions et confection du présent inventaire, et à la conservation de ladite damoiselle et desdits mineurs et de tous autres qu'il appartiendra.
(vue 281 : contrat de mariage d'entre le défunt Daniel MESTAYER et ladite Elizabeth DE LA MORLIERE, par devant Jean Le Vasseur et Demas le 12 février 1640 ; damoiselle Marguerite LEGRAND, veuve de feu noble homme Adrien DE LA MORLIERE, vivant conseiller du Roi, prévôt général de la connétablie et maréchaussée de France, camps et armées de sa majesté, mère de la future)
(vue 283 : inventaire à la requête dudit défunt de la Baudinière de la succession de défunte Anne DE LA MOTHE sa première femme, étant au lieu seigneurial de la Baudinière, par devant Me François Mension, notaire et tabellion juré en la baronnie de Brou, le 20 janvier 1640)
(vue 283 : contrat de mariage d'entre ledit défunt de la Baudinière et de défunte damoiselle Anne DE LA MOTHE, par devant Demas le 24 juin 1630)
(vue 284 : contrat : Gédéon DE LA MOTTE, écuyer, sieur d'Aymeville, fils aîné et principal héritier de défunt Nicolas DE LA MOTTE et de damoiselle Jossine DE BERNETZ, frère de défunte damoiselle Anne DE LA MOTTE)

287
[210 – 287] 15 novembre 1652 - Inventaire dressé après le décès, advenu le 2 juillet 1652, de défunte Jeanne HALTEL (?), à la requête de son veuf Maurice FERANDEL, maître tissutier rubanier à Paris, demeurant au faubourg Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs Joachim FERANDEL, âgé de six ans et de Marguerite FERANDEL, âgée de trois ans, élu par acte du Châtelet reçu par Coudray le jourd'hui, et en la présence de François VERDURE, maître tissutier rubanier à Paris, demeurant au faubourg Saint-Denis, paroisse Saint-Laurent, oncle maternel à cause de défunte Marie HALTEL sa femme, et subrogé tuteur desdits mineurs quant à leurs actions, partage, divisions et confection du présent inventaire, lesdits mineurs habiles à se dire, porter et nommer héritiers de ladite défunte leur mère, et à la conservation dudit FERANDEL, desdits mineurs et de tous autres qu'il appartiendra.

294
[210 – 294] 19 octobre 1652 - Inventaire dressé après le décès, advenu le 8 février 1650, de défunte Marie LARTIZIEN, à la requête de son veuf Jean CABOT, maître menuisier bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merry, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs Charles CABOT, âgé de douze à treize ans et Marie CABOT, âgée de onze ans ou environ, et aussi à la requête et présence d'Antoine CABOT, aussi maître menuisier à Paris, tant en son nom que comme subrogé tuteur desdits Charles et Marie CABOT ses frère et sœur, tous habiles à se dire, porter et nommer héritier, chacun pour un tiers de ladite défunte Marie LARTIZIEN leur mère, et à la conservation, tant dudit CABOT père que desdits présomptifs héritiers, et de tous autres qu'il appartiendra.
Les biens étant tant en la maison sise en ladite rue Saint-Martin qu'en une autre maison sise sur les fossés d'entre les portes de Saint-Marcel et de Saint-Jacques, proche l'Estrapade.

474
[210 – 474] 16 septembre 1652 - Inventaire dressé après le décès, advenu le 1er septembre 1652, de Maître Jean DE LA ROCHE, vivant procureur en Parlement, à la requête de damoiselle Marie DE LA ROCHE, veuve de feu noble homme Maître Daniel TAMPÉ, vivant avocat en Parlement, en son nom, Maître Jean DE LA ROCHE, bourgeois de Paris, noble homme Maître Louis TURQUOIS (signe TURQUOYS), avocat en Parlement, en son nom à cause de damoiselle Marie DE LA ROCHE sa femme, Philippe LE VASSEUR, aussi avocat en Parlement, tant en son nom à cause de damoiselle Anne DE LA ROCHE sa femme, que comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt, de dame Ursine MAHIEU, veuve de feu noble homme Maître Jacques DE LA ROCHE, vivant sieur de la Menardière, greffier au greffe criminel de la cour de Parlement, au nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs Gilles DE LA ROCHE, Jacques DE LA ROCHE, Catherine DE LA ROCHE et Anne DE LA ROCHE, maître Jérôme DE VILLIERS (signe DEVILIERS), avocat et conseiller de sa majesté, aussi en son nom à cause de demoiselle Marie DE LA ROCHE sa femme et de Maître Jacques CARRIER, aussi bourgeois de Paris, pareillement en son nom à cause de damoiselle Marguerite DE LA ROCHE sa femme, tous lesdits comparants héritiers dudit défunt Maître Jean DE LA ROCHE, frère de ladite damoiselle TAMPÉ, et oncle des avant-dits comparants, savoir ladite damoiselle TAMPÉ pour un tiers, lesdits Maître Jean, Marie et Anne DE LA ROCHE, frère et sœurs pour un autre tiers, comme représentant défunt Maître François DE LA ROCHE leur père, vivant aussi procureur en ladite cour, et les enfants dudit défunt Maître Jacques DE LA ROCHE et de ladite MAHIEU pour l'autre tiers comme représentant ledit défunt leur père, et à la conservation desdits héritiers et de tous autres qu'il appartiendra.
Les biens étant en une maison sise rue Quincampoix, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs.
(vue 526 : 2 décembre 1628 : maison, dont une moitié appartenait audit défunt DE LA ROCHE et à ses cohéritiers de défunt Maître Jean DE LA ROCHE leur père et l'autre moitié à défunte Marie BOISSEAU leur mère, lors veuve dudit défunt DE LA ROCHE)
(vue 528 : 7 avril 1639 : défunte dame Anne DE LA ROCHE lors veuve de feu Maître Jean DOUET l'aîné, vivant procureur en ladite cour, et les enfants et héritiers dudit défunt Maître Jean DOUET son mari ; successions dudit défunt Maître Jean DOUET l'aîné et Anne DESUREL sa femme en premières noces)
(vue 530 : 19 juin 1650 : Maître Antoine COINTEREL, Anne DUBREAS sa femme, auparavant veuve dudit défunt Maître François DE LA ROCHE, Maître Jean DE LA ROCHE leur fils, lors mineur, ladite Marie DE LA ROCHE lors veuve de Maître Henry LE CLERC, à présent femme dudit sieur TURQUOIS, ledit Mâitre Philippe LEVASSEUR et ladite damoiselle Anne DE LA ROCHE sa femme, tous héritiers de François DE LA ROCHE leur père et de défunte dame Anne DE LA ROCHE leur tante…)

Bien des choses à tous, et à bientôt  ;)

[cdemaz]

Bonjour à tous 

Voici mes analyses du matin :

[211-1] Le 3 février 1653 – Coté 419 – Inventaire après le décès de Louis DOYEN, vivant maître tonnelier à Paris, survenu le 8 décembre 1652. A la requête de sa veuve, Etiennette MARTIN, demeurant rue Darnetal (Greneta) paroisse Saint-Laurent, tant en son nom que comme tutrice de Geneviève âgée de 3 ans et demi, et de Mathieu DOYEN âgé de 10 mois, leurs enfants mineurs, habiles à se dire, porter et nommer héritiers du défunt leur père. Et en la présence de Pierre DOYEN, aussi maître tonnelier à Paris, demeurant rue de la Furie( ?), oncle maternel (sic) et subrogé tuteur des mineurs (élus par acte d’avis de parents et amis, homologué au châtelet le 1 février 1653).
(vue 8 : Contrat de mariage DOYEN-MARTIN, passé par-devant Roussel et Camuset le 28 août 1639. Ladite Etiennette MARTIN, alors fille de Sulpice MARTIN et de Nicole POCHET)

[211-10] Le 4 février 1653 – Coté 420 – Inventaire après le décès de Jacques MOREAU, vivant canonnier pointeur de l’artillerie de France, chevaucheur ordinaire des écuries du Roi, bourgeois de Paris, survenu le 31 janvier 1653. A la requête de sa veuve, Catherine LE ROU, demeurant rue Saint-Martin, en la maison où est pour enseigne la ville de Bruxelles, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, où le défunt serait décédé, tant en son nom, que comme tutrice d’Augustin âgé de 15 ans, de Catherine âgée de 12 à 13 ans, de Claude âgée de 12 ans, de Marie âgée de 10 ans, de Jacques âgé de 9 ans, de Marie Jacoba âgée de 5 ans et demi, et de Catherine Suzanne MOREAU âgée de 4 ans, leurs enfants mineurs, habiles à se dire, porter et nommer héritiers du défunt leur père. Et en la présence du sieur Etienne GRESSET, bourgeois de Paris, demeurant dans l’enclos du Temple, oncle paternel et subrogé tuteur des mineurs. Et encore en la présence de noble homme Me Germain SOUFFLOT, conseiller et premier substitut de monsieur le procureur du Roi au Châtelet de Paris, appelé pour l’absence de Mre Josse GREDER, capitaine Suisse pour le service du Roi et de damoiselle Catherine MOREAU son épouse ; et de François et René MOREAU. Lesdits Catherine, François et René MOREAU, frères et sœur, enfants du défunt Jacques MOREAU et de défunte Catherine ROUSSEAU, jadis sa femme en premières noces, aussi présomptifs héritiers du défunt leur père.
(Vue 42 : Contrat de mariage MOREAU-LE ROU, passé par-devant Parque et son compagnon le 21 février 1637)
(Vue 42 : Inventaire après le décès de Catherine ROUSSEAU, à la requête du défunt Jacques MOREAU, fait par Jacques de Saint-Vaast le 18 juin 1636)
(Vue 43 : Contrat de mariage GREDER-MOREAU, passé par-devant Philippe Le Cat et Demas le 31 juillet 1644)

Belle et bonne journée à chacun.
Christophe

[pganier]

Bonjour,

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081&page=77
[211-77] 17 février 1653 - Cote 421 - Inventaire après le décès de défunte Claudia DRELINCOURT, à la requête de Jacques EUDELIN, son veuf, bourgeois de Paris, y demeurant rue des Ménétriers, paroisse Saint-Josse, où la défunte serait décédée le 26 juin 1652, tant en son nom que comme tuteur de maître Nicolas EUDELIN, avocat en parlement, âgé de 22 ans et demi, Elisabeth âgée de 12 ans et demi, Jean âgé de 10 ans ou environ, et Suzanne EUDELIN âgée de 8 ans, enfants mineurs d'ans de lui et de la défunte, sa femme, et en la présence de sieur Joachim EUDELIN, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue des Lavandières, paroisse Saint-Germain-de-l'Auxerrois, oncle paternel et subrogé tuteur desdits mineurs quant à leurs actions, partage, division et confection du présent inventaire, et à la conservation dudit EUDELIN, desdits mineurs et de tous autres qu'il appartiendra.
(Page 99) Contrat de mariage entre EUDELIN x DRELINCOURT, le 24 avril 1628, devant Ducloux et Alaume, notaires à Sedan.
(Page 99) Catherine BUIRETTE, veuve M. Antoine DRELINCOURT. Charles DRELINCOURT, oncle.

Manque deux mots ici:

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081&page=102
[211-102] 19 mars 1653 - Cote 422 - Inventaire de quelques titres, papiers et enseignement (et le 10 avril inventaire page 110) concernant la succession de défunt M. Nicolas REGNIER, receveur de la terre de Bezons (95870), à la requête de Madeleine LEMERCIER, sa veuve, demeurant à Paris, rue de la Vieille-Monnaie, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, en la maison de M. Jean LEMERCIER, son frère, prêtre habitué en ladite église, créancière de la succession dudit défunt son mari, pour ses dot, douaire, conventions matrimoniales à elle accordées par ledit défunt par le contrat et traité de leur mariage, attendu la renonciation qu'elle a faite à la communauté de biens d'entre son dit mari et elle par acte donné au greffe civil du Châtelet de Paris le 6 août 1652, et en la présence de Jacques HUREAU, praticien à Paris, demeurant rue et paroisse Saint-Sauveur, au nom et comme curateur créé à la succession vacante de défunt Jean REGNIER fils du défunt et de ladite veuve sa mère, aurait aussi renoncé à sa succession mobilière par acte donné audit Châtelet le 17 août 1652, et que Philippe FRANÇOIS, père et tuteur de Jean et Jeanne FRANÇOIS, enfants mineurs d'ans de lui et de défunte Gabrielle REGNIER sa femme, qu'icelui défunt lui à mis ès main le 3 mai 1652, l’ayant mandée à ce sujet, au lieu où il s’était réfugié à cause de la misère du temps chez ledit FRANCOIS, son beau-frère, près de la porte Saint-Victor, fort malade d'une pleurésie dont il serait décédé le 3 juin 1652, aurait pareillement renoncé à la succession dudit défunt REGNIER fils, qui était seul et unique héritier dudit défunt Nicolas REGNIER son père, et à la conservation de ladite veuve, dudit HUREAU curateur et de tous autres qu'il appartiendra.
(Page 109) Contrat de mariage REGNIER x LEMERCIER, le 7 février 1642, devant Marreau et Quarré, notaires.

Ca va là tu crois? Merci Christophe

Les titres et papiers d'abord!

[cdemaz]

Bonsoir Pascal,

Voici mes remarques :

Nicolas REGNIER, receveur de la terre de Bezons
pour ses dot, douaire, conventions matrimoniales
attendu la renonciation
défunt Jean REGNIER fils du défunt et de ladite veuve sa mère
La phrase suivante n'est pas bien placée :près de la porte Saint-Victor, fort malade d'une pleurésie dont il serait décédé le 3 juin 1652

qu'icelui défunt lui à mis ès main le 3 mai 1652, l’ayant mandée à ce sujet, au lieu où il s’était réfugié à cause de la misère du temps chez ledit FRANCOIS, son beau-frère, près de la porte Saint-Victor, fort malade d'une pleurésie dont il serait décédé le 3 juin 1652.

Mais je dis haut et fort que ces commentaires ne feront pas de moi un correcteur 

Cordialement
Christophe

[alachaud]

Mais je dis haut et fort que ces commentaires ne feront pas de moi un correcteur 

Ne fais pas le modeste, tu t'en tires très bien

Bonne journée à tous,

Anthony

[pganier]

Bonjour,

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081&page=210
[211-210] 29 mai 1653 - Cote 428 - Inventaire après le décès de Jean BARROIS, vivant marchand épicier à Paris, à la requête de Nicolle GIRARDEAU, sa veuve, demeurant rue des Cinq-Diamants, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, tant en son nom que comme tutrice de Jean BARROIS âgé de 15 ans ou environ, fils mineur d'ans dudit défunt et d'elle, et en la présence de Jean BARROIS, maître jardinier à Paris, oncle paternel dudit mineur, élu par acte en forme d'avis des parents et amis dudit mineur homologué au Châtelet de Paris le 27 mai 1653 rendu par Coudray, ledit mineur habile à se dire, porter et nommer héritier dudit défunt son père, et à la conservation de ladite veuve, de son dit mineur et de tous autres qu'il appartiendra.

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081&page=216
[211-216] 28 mai 1653 - Cite 427 - Inventaire après le décès d'Anne TESTART, à la requête de Thomas VICQUETTE, son veuf, maître tissutier rubanier, ouvrier en draps d'or, d'argent et soie, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-Saint-Laurent, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, en la maison où est pour enseigne la Fleur de Lys, où la défunte serait décédée le 16 septembre 1652, tant en son nom à cause de la communauté qu'il a eue avec ladite défunte, jadis sa femme, que comme tuteur de Madeleine âgée de 14 ans, Thomas âgé de 11 à 12 ans, Bernard âgé de 5 à 6 ans, et Marie Anne VICQUETTE âgée de 3 ans et demi, enfants mineurs d'ans de lui et de la défunte, et en la présence de Jean MIGNOT, maître tissutier rubanier à Paris, cousin maternel et subrogé tuteur desdits mineurs quat à leurs actions, partage, division et confection du présent inventaire, iceux mineurs habiles à se dire, porter et nommer héritiers de ladite défunte leur mère, et à la conservation tant dudit VICQUETTE que desdits mineurs et de tous autres qu'il appartiendra.
(Page 221) Contrat de mariage VICQUETTE x TESTART, le 29 août 1628, devant Haquenier et Cousinet, notaires. Anne BREHIER, veuve de feu Jean TESTART, belle-mère de Thomas VICQUETTE. Pierre CARTIER, procureur en parlement, oncle de ladite défunte.
(Page 222) Françoise LEMAIRE, veuve en première noces de défunt Bernard VICQUETTE, et en seconde de défunt Antoine FAGARD, vivant maître tissutier rubanier à Paris.
(Page 222) Marin FAGART, fils de défunt Antoine FAGARD et de défunte Geneviève LESCLISTÉ.
(Page 225) André LEMAIRE, marchand à Bruxelles.

[jdp1]

Bonsoir à tous.

Il y a un peu de travail sur les actes suivants, surtout le premier  :
http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081&page=116
[211 – 116] 27 mars 1653 - Inventaire dressé après le décès, advenu le 21 février 1653, de feu Messire Noël FAVYER vivant chevalier, seigneur et baron de Mery (Mery-sur-Seine), seigneur de La Maison Rouge, Villebouroys (?) et autres lieux, conseiller ordinaire du Roi en ses conseils et président en sa cour de Parlement de Rouen, à la requête de sa veuve dame Marie DE MASPARRAULTE, demeurant à Paris rue Quincampoix, paroisse Saint-Merry, pour la conservation de ses droits et conventions matrimoniales à elle accordées par ledit défunt, par le contrat et traité de leur mariage remplois et autres droits à elle appartenant, et en la présence de Messire Jacques FAVYER aussi chevalier seigneur et baron de Mery, conseiller ordinaire du Roi en ses conseils demeurant à Paris en ladite rue Quincampoix, père dudit défunt sieur président FAVYER, et aussi à la requête et présence de Maître Laurent DU CHASTELET aussi chevalier seigneur du Châtelet de Fresnières et de Le Levigny, la Tolette et autres lieux, demeurant ordinairement en son château de Fresnières (60310), prévôté de Roye (80700) en Picardie, en son nom à cause de dame Catherine FAVYER son épouse, de Messire Jacques LE BOSSU, conseiller et aumonier ordinaire du Roi, demeurant à Paris en ladite rue Quincampoix, abbé de l'abbaye de Saint-Georges des Bois tant en son nom que comme curateur de François LE BOSSU et Simon LE BOSSU ses frères écuyers tous enfants de défunt Maître Jean Robert LE BOSSU conseiller et maître d'hôtel ordinaire du Roi et auditeur en sa chambre des comptes, seigneur de Charenton (94220) Saint-Maurice (94410), châtelain de Marsey et de défunte dame Marie FAVYER jadis sa femme, et encore ledite sieur abbé comme procureur dudit sieur LE BOSSU son père, fondé de sa procuration générale passée par devant Nicolas Soulat notaire à Montr… le 28 janvier 1653 remise es mains dudit sieur abbé, lesdites dames de Fresnières et LE BOSSU sœurs dudit défunt, lesdit sieur FAVYER père et lesdits sieurs et dame de Fresnières et lesdit LE BOSSU comme représentant ladite défunte leur mère habiles à se dire, porter et nommer héritiers dudit défunt sieur président FAVYER et encore en la présence de Maître Pierre BARRANGUE, procureur au Châtelet de Paris et de noble homme Robert TULLOUE docteur en la faculté de médecine en l'université de Paris créanciers dudit défunt sieur président FRAYER.
Les biens étant en la maison dudit sieur FAVYER père où ledit défunt serait décédé.
(vue 132 : contrat de mariage entre ledit défunt et ladite dame  DE MASPARRAULTE, par devant Guyon et Bauldry le … décembre 1651)

Edit : Les Tulloue n'ont donc pas tous fait Droit ! Merci Nicolas.

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=29081&page=154
[211 – 154] 2 avril 1653 - Inventaire dressé après le décès, advenu le , de défunte dame Marie Madeleine DE LA PLANCHE, à la requête de son veuf Monsieur Maître Pierre ANGRAN seigneur de Fontpertuis (45740 Lailly-en-Val) et de Lailly (id.), conseiller du Roi et correcteur ordinaire en sa chambre des comptes à Paris, demeurant rue de Beaubourg, paroisse Saint-Merry, tant en son nom que comme ayant la garde noble de leur enfants mineurs Euverte AUGRAN, âgé de cinq ans et demi, de Catherine AUGRAN, âgée de quatre ans et demi, d'Angélique AUGRAN, âgée de quinze mois et d’Élisabeth Claire AUGRAN âgée d'un mois, par acte donné au Châtelet de Paris le 12 mars 1653, et encore tuteur desdits mineurs, élu par acte en forme d'avis de parents, homologué audit Châtelet le 26 mars 1653, en la présence de Raphaël DE LA PLANCHE, écuyer, sieur de Fontruisseau, conseiller du Roi et trésorier général de ses bâtiments, au nom et comme aïeul et subrogé tuteur desdits mineurs quant à leurs actions, partage, divisions et confection du présent inventaire, iceux mineurs habiles à se dire, porter et nommer héritiers, chacun pour un quart, de ladite défunte dame leur mère, et à la conservation dudit sieur de Fontpertuis, desdits mineurs, et de tous autres qu'il appartiendra.
Les biens étant en la maison de Monsieur AUGRAN père, sise en ladite rue de Beaubourg.
(vue 170 : contrat de mariage entre ledit sieur AUGRAN et ladite défunte dame DE LA PLANCHE, devant Demas et Gerbault le 4 juin 1646 ; Raphaël DE LA PLANCHE et damoiselle Catherine DE JUYE père et mère de l'épouse)

Bon courage, et bonne soirée.

[lawriw]

Bonjour à tous,

Robert TULLOUE est docteur en la faculté de médecine en l'université de Paris


cordialement