Bonjour à tous,
[182–81] Le mardi 11 juillet 1600 – Inventaire après le décès survenu depuis le 7 juillet 1600, de Jean DESTE, maître serrurier à Paris, fils de défunt Florent DESTE, maître serrurier à Paris. A la requête de Robert HALLOT, maître raquetier, Madeleine CARON, sa femme, Jean BARDAULT, maître tisserand à Paris, et Lucresse VALLÉE, sa femme, et Antoine CARRON, valet de chambre de monsieur du Haillaut. Iceux Antoine CARRON et lesdites femmes neveu et nièces du défunt, et habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt Jean DESTE leur oncle. Et Marie MERCERON, veuve dudit défunt Jean DESTE, au nom et comme exécutrice du testament du défunt son mari. En la présence de ferronniers, créanciers du défunt. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Jacques près Saint-Yves, en laquelle pend pour enseigne le Barreau de fer, en laquelle le défunt serait décédé.
(vue 89) cote 1 : 1595 – Contrat de mariage Jean DESTE, maître serrurier à Paris et Marie MERCERON, alors veuve de Robert DUBOYS.
(vue 90) cote 2 : Testament du défunt.
(voir aux vues 177-178 une sentence mal classée)
[182–97] Le 11 avril 1600 – Inventaire après le décès de Gabriel POULLET, receveur général du duché de Guise, et intendant de monseigneur le duc de Guise. A la requête de damoiselle Louise de PONTHIEU, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice légitime et ayant la charge, gouvernement et administration de leurs enfants mineurs. En la présence de Pierre POULLET, sieur de Saint-Germain, lieutenant général et président au bailliage de Vermandois, et maître Claude POULLET son frère, fils desdits défunt et de ladite damoiselle de PONTHIEU. Les biens étant en une maison et lieux, sise à Paris, rue et joignant le Collège du Mans … appelée la maison du Cornet.
(vue 116) Sentence du 19 mai 1600 – les parents et amis de Claude, âgé de 21 ans, [ blanc ], âgé de 13 ans, et Louise POULLET, âgée de 11 ans, enfants mineurs de feu noble homme maître Gabriel POULLET, intendant du duché de Guise, et Louise PONTHIEU, à présent sa veuve. Pierre POULLET, avocat en Parlement ; maître Louis Heurtevyn, procureur de Jean POULLET, cousin germain paternel, Noël LEFORT, aussi cousin germain paternel à cause de sa femme, Martin POULLET, Jacques LANQUYN, Guillaume de HARLES, et Marin BOCQUILLON, cousins des mineurs, qui nomment ladite de PONTHIEU tutrice et curatrice auxdits mineurs ses enfants, et Pierre POULLET, subrogé tuteur.
(vue 120) 13 septembre 1600 – Sont comparus Pierre ANDRÉ, valet de chambre du Roi et Louise de PONTHIEU sa femme, en la présence desdits maîtres Pierre et Claude POULLET, ses fils émancipés, qui déclarent que depuis leur mariage, ils ont vendus du blé et du froment.
(vue 121) 15 septembre 1600 – maître Pierre POULLET, conseiller du Roi, président au siège présidial de Laon, et lieutenant général au bailliage de Vermandois, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Quique (?) et Louise POULLET, ses frère et sœur, enfant de feu Gabriel POULLET et de Louise de PONTHIEU, et maître Claude POULLET, émancipé, et aussi à la requête de noble homme Pierre ANDRÉ, valet de chambre du Roi et de ladite damoiselle Louise de PONTHIEU sa femme, demande de récolement de tous les biens de l’inventaire après le décès de Gabriel POULLET.
(vue 160) cote 85 : 1578 – Geneviève POULLET, veuve de Noël PIERRE demeurant à Guise, vend audit défunt (Gabriel) POULLET (son frère cf cote 87), tous les droit qui lui appartient de la succession de défunt Pierre POULLET son père et Antoinette MEUCHEVILLE (?) sa mère demeurant au village d’Yion.
Dans les titres on trouve un Gabriel POULLET l’aîné et un Gabriel POULLET le jeune.
A bientôt
Christophe.